Itinéraire d’Abdelaziz Bouteflika
Téléchargez le livre de Mohamed Benchicou « Bouteflika ou l’imposture algérienne » ____________________________________ A Alger, ce 1er février, la salle de l’hôtel Aurassi est trop exiguë pour recevoir les centaines d’invités – célèbres ou anonymes – qui se pressent pour assister à l’annonce solennelle de la candidature d’Abdelaziz Bouteflika à l’élection présidentielle. Ils sont manifestement curieux de (re)découvrir l’un des derniers représentants de l’ère Boumedienne – c’est lui qui, en décembre 1978, a prononcé l’éloge funèbre du président défunt -, l’homme qui a dirigé la diplomatie de leur pays à l’époque, déjà lointaine, où celui-ci comptait sur la scène internationale. Bouteflika a trop attendu son retour sur le devant de la scène pour ne pas avoir étudié le moindre détail de l’opération. Alors que la salle ne peut recevoir que deux mille personnes, plus de deux mille cinq cents cartons d’invitation avaient été envoyés. Stars du show-biz, vedettes sportives comme l’ancien footballeur Ali Bencheikh, ministres de Chadli en disgrâce, généraux à la retraite… Mais aussi des syndicalistes et des patrons, des intellectuels de gauche et des bailleurs de fonds notoires de l’islamisme politique… On pouvait voir des victimes de la « déboumédiennisation » côtoyer sans problème leurs anciens persécuteurs. Et des artistes s’entretenir aimablement avec leurs censeurs d’hier… On l’aura compris : le candidat s’efforce d’apparaître comme un rassembleur… Abdelaziz Bouteflika est né en 1937, à Oujda. Originaire de Tlemcen, son père s’était en effet installé, au milieu des années trente, dans la capitale du Maroc oriental, pour des raisons économiques. Enfance sans histoire, adolescence studieuse et baccalauréat français à 18 ans. Mais ni le collège ni le lycée ne le détournent de l’école coranique : l’année du bac sera aussi celle du brevet arabe. En 1956, il hésite entre l’université et la vie active. La guerre choisira pour lui. Le Front de libération nationale (FLN) demande à tous les lycéens et les étudiants de rejoindre les maquis. Il répond à l’appel. Ce n’est pas une surprise : au lycée déjà, il animait la cellule de l’Istiqlal, le parti nationaliste marocain d’Allal el-Fassi. Dans l’Oranais, contrairement à d’autres régions du pays, l’Armée de libération nationale (ALN), la branche armée du FLN, n’en est encore qu’à ses premiers balbutiements. Bouteflika traverse clandestinement la frontière et s’attelle à l’organisation des premières unités combattantes de la wilaya 5, dirigée par un certain Mohamed Boukherouba, plus connu sous son nom de guerre : Houari Boumedienne. En dépit de sa fragilité physique (il mesure à peine 1,65 m), le jeune homme fait montre d’une réelle aptitude au commandement et d’un sens aigu de l’organisation. Après plusieurs missions qui le mènent jusqu’aux confins méridionaux du pays, près de la frontière malienne, le désormais Si Abdelkader (son nom de guerre) rejoint le commandement de la wilaya 5, basé à Oujda. Il y côtoie le gotha de l’ALN : Cherif Belkacem, alias Si Djamel, Ahmed Medeghri (Si Hocine), Ahmed Kaïdi (Si Slimane) et Houari Boumedienne. En 1957, Bouteflika est légèrement blessé au cours d’une mission. Il est évacué sur Casablanca [Ben M'hidi n'était pas aussi malin, NDLR], où il est pris en charge par les réseaux de Mohamed Zeghar. Grand argentier du FLN, celui-ci s’occupe de l’approvisionnement des maquis et de l’armée des frontières en armes et en équipements. C’est dire qu’il est amené à gérer des sommes colossales et qu’il dispose de nombreux contacts dans le monde du renseignement. Il a, en outre, l’oreille de Boumedienne et jouit de la confiance absolue d’Abdelhafid Boussouf, qui dirige le ministère de l’Armement et des Liaisons générales (Malg), l’ancêtre de la Sécurité militaire (SM). Bouteflika sait tout cela. Il parvient à s’attirer les bonnes grâces de Zeghar, qu’il séduit par sa capacité à s’adapter aux situations les plus imprévues. Cultivé sans être pédant, le jeune homme est, en outre, d’un commerce agréable et sait parler de choses sérieuses avec humour. Désormais membre du « clan d’Oujda », il joue dans la cour des grands. Boumedienne lui confie les missions les plus délicates. D’homme de confiance, il devient homme d’influence. C’est lui qui souffle l’idée à Boumedienne de quitter Oujda pour Ghardimaou, en Tunisie. « Si nous restons ici, nous serons les héros d’une région. Pour jouer un rôle national, il faut aller en Tunisie. C’est là-bas que tout se décide. » L’homme qui tient ce langage au taciturne et très autoritaire Houari Boumedienne n’a que 21 ans… En 1961, celui-ci, devenu chef d’état-major général, entre en conflit avec le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). La crise entre les politiques du FLN et les militaires de l’ALN prend des proportions graves. Avec l’ouverture des négociations d’Évian, l’indépendance est inéluctable. Boumedienne, qui dispose d’une armée bien entraînée, se sait tout-puissant, mais il a besoin d’une légitimité politique. Il charge son homme de confiance de négocier le soutien de l’un des dirigeants historiques détenus au château d’Aulnoy, en France : Mohamed Boudiaf. Bouteflika accepte la mission, mais risque une suggestion. « Je suis sûr, dit-il, qu’Ahmed Ben Bella ferait mieux notre affaire, Boudiaf est moins malléable. » Boumedienne se laisse convaincre. La suite des événements donnera raison à Bouteflika.En 1962, l’Algérie accède à l’indépendance, mais la crise couve toujours. L’armée de Boumedienne installe Ben Bella au pouvoir et Bouteflika délaisse ses galons de commandant pour embrasser définitivement la carrière politique. Il est nommé ministre de la Jeunesse, des Sports et du Tourisme. Quelques mois plus tard, Mohamed Khemisti, le chef de la diplomatie, est assassiné par un dément (c’est du moins la version officielle). Bouteflika lui succède. Il n’a que 25 ans. Certains s’en inquiètent : comment un homme aussi jeune pourra-t-il faire oublier un Saad Dahlab, le chef de la diplomatie du GPRA ? Le pouvoir de Ben Bella est autocratique. Seules la Défense (Boumedienne) et les Affaires étrangères échappent à son contrôle. Le jeune ministre lui donne du fil à retordre : il fait tout pour saborder le rapprochement avec l’Égypte de Nasser et s’abstient de le consulter pour les nominations d’ambassadeurs. Le 18 juin 1965, Ben Bella décide de le limoger. C’en est trop pour Boumedienne. Ben Bella est renversé dès le lendemain. Le putsch confirme la mainmise du clan d’Oujda sur le pays : Boumedienne est aux commandes, Bouteflika aux Affaires étrangères, Medeghri à l’Intérieur, Kaïdi aux Finances et Cherif Belkacem à l’Orientation politique du parti unique. C’est le début du « redressement révolutionnaire ». Désormais, Bouteflika a les coudées franches. Son style marquera la diplomatie algérienne de son empreinte. Il s’habille chez les grands couturiers, ne dédaigne pas les mondanités, mais continue de fréquenter les révolutionnaires du monde entier. Il se tue à la tâche, mais trouve encore le temps de vivre. Par sa culture, il parvient même à séduire le président sénégalais Léopold Sédar Senghor, pourtant peu suspect de sympathies pour l’orientation révolutionnaire de l’Algérie. En 1973, alors que les relations avec Washington sont quasi gelées depuis la guerre des Six Jours (en 1967), il suggère au président de se rendre à New York pour revendiquer, devant l’Assemblée générale de l’ONU, l’instauration d’un nouvel ordre économique mondial. Boumedienne n’est qu’à demi convaincu. Bouteflika appelle à la rescousse son ami Zeghar, désormais reconverti dans le négoce international. Le président finit par consentir. Zeghar prend en charge la logistique de l’opération et Bouteflika l’aspect politique. Alger va donc renouer avec Washington, mais sans se renier : sur le chemin du retour, la délégation fera escale à La Havane… Certains, à l’époque, accusaient volontiers la diplomatie algérienne d’« arrogance ». Ce n’est pourtant pas le style de Bouteflika. À preuve, cette anecdote rapportée à un journaliste par l’ancien ministre marocain (et patron de l’USFP) Abderrahim Bouabid. En 1974, lors de la Conférence des non-alignés de Colombo, un diplomate marocain interpelle violemment Bouteflika avant l’ouverture de la séance consacrée à l’épineuse question du Sahara : « Je vais te rentrer dedans ! » L’Algérien ne perd pas son sang-froid et réplique par un proverbe : « La pierre lancée par un ami est une pomme. » Si Bouteflika sait, à l’occasion, montrer les dents, il sait aussi quand le sourire est de mise… La même année, il est élu, à l’unanimité, président de l’Assemblée générale de l’ONU. Il en profite pour inviter Yasser Arafat à s’exprimer à la tribune. Le chef de la diplomatie algérienne a d’ailleurs de nombreux points commun avec le leader palestinien : la ruse, une indiscutable habileté manoeuvrière et… le goût du célibat. Bouteflika aime les femmes, mais n’a apparemment pas le temps d’en choisir une. À l’époque, ses détracteurs lui prêtaient de nombreuses liaisons féminines. Il mettait cela sur le compte de la jalousie… Tous ceux qui ont eu l’occasion de travailler avec lui reconnaissent qu’il n’est pas un patron facile. « Avant de s’entretenir avec lui, mieux vaut avoir bien préparé son dossier, car il ne supporte pas l’approximation. Il est exigeant sans être autoritaire », se souvient un ancien ambassadeur. Respecté par ses collaborateurs, le ministre est, en permanence, courtisé par les médias : son sens de la formule fait merveille. Lors de ses conférences de presse, « Little Big Man », comme on le surnomme, parvient à faire passer le message le plus compliqué avec les mots les plus simples, parfois les plus drôles. La France est excédée par sa prestance. Les États-Unis se méfient d’un homme qui n’a pas hésité à accueillir le terroriste Carlos après la prise d’otages des ministres du Pétrole de l’Opep, en 1977. L’Égypte l’exècre, mais l’Afrique l’adule. En décembre 1978, la mort de Boumedienne prend de court l’establishment algérien. Bouteflika est le dauphin naturel, mais c’est compter sans l’armée : occupé ailleurs, le ministre des Affaires étrangères avait quelque peu perdu le contact avec les militaires. Certains de ses amis avaient pris leur retraite, d’autres avaient changé de centre d’intérêt. Kasdi Merbah, l’inamovible patron des services de sécurité, avec lequel il avait de tout temps collaboré, sera le premier à le trahir. C’est lui qui suggérera au Congrès extraordinaire du FLN de nommer à la présidence l’officier le plus ancien dans le grade le plus élevé, en l’occurrence le colonel Chadli Bendjedid. Pour Bouteflika, commence une longue traversée du désert… Pour asseoir son pouvoir, Chadli est convaincu de la nécessité d’entreprendre une « déboumédiennisation » des institutions. La chasse aux sorcières est ouverte. Une Cour des comptes est instituée, dont la présidence est confiée à Ahmed Taleb Ibrahimi, aujourd’hui rival de Bouteflika pour la présidentielle. Un dossier sur une mauvaise gestion des fonds secrets du ministère des Affaires étrangères est préparé par la SM, que dirige Lakehal Ayat. La Cour des comptes instruit le dossier et le transmet à la justice. Le procès n’aura jamais lieu, mais Bouteflika est exclu du Comité central du FLN. Lui et sa famille sont chassés de la résidence d’État qu’ils occupent à Poirson, sur les hauteurs d’Alger. L’ancien numéro deux du régime est contraint à l’exil : il s’installe chez l’un de ses amis, ancien ministre des Affaires étrangères des Émirats arabes unis. Comme d’autres, Bouteflika aurait pu lancer un mouvement d’opposition, dénoncer les rumeurs colportées par ses détracteurs. Il choisit de faire le dos rond et attend patiemment son heure. En 1987, il rentre en Algérie. C’est Mouloud Hamrouche, directeur général du protocole à la présidence (il participe, lui aussi, au scrutin du 15 avril), qui se charge de lui trouver un logement à Alger. Dans un premier temps, il s’abstient soigneusement de toute activité politique et ne sort de son mutisme qu’au lendemain des événements d’octobre 1988 : avec dix-sept autres personnalités, il signe une motion en faveur de la démocratisation de la vie publique. Deux mois plus tard, il réintègre le Comité central du FLN. La victoire du Front islamique du salut aux élections législatives provoque l’interruption du processus électoral. Chadli est démis de ses fonctions en janvier 1992 et une direction collégiale instituée, sous la présidence de Mohamed Boudiaf. Bouteflika est « approché » : on lui propose un poste de conseiller politique. Refus poli. Deux ans plus tard, son nom est à nouveau évoqué, cette fois pour la présidence de l’État. Il s’agit de conduire la transition vers la reprise du processus électoral. Estimant que les conditions ne sont pas réunies, il décline la proposition. Tout a changé depuis l’annonce du départ anticipé du président Liamine Zéroual. Désormais, le jeu en vaut la chandelle et il s’est donc lancé dans la course. La précampagne électorale a démontré qu’il n’a rien perdu de son habileté. Avant même l’annonce de sa candidature, il était au centre de toutes les supputations. Il est parvenu à accréditer l’idée qu’il dispose du soutien de l’armée, sans jamais le solliciter et, moins encore, le négocier. Son silence est souvent plus éloquent que les interventions tonitruantes de certains de ses rivaux. Du coup, la moindre de ses « petites phrases » fait événement. Ses rares sorties publiques provoquent une véritable cohue et ses interviews sont disséquées par les états-majors de ses adversaires. Même le choix des supports obéit à une stratégie clairement définie. Par exemple, il a refusé de participer à une émission de la chaîne de télévision qatarie Al Djazira, alors que les autres candidats tentent désespérément d’y être invités. Pour sa première interview, il a choisi le quotidien Le Jeune indépendant, dont les tirages sont loin d’atteindre les sommets, au détriment des grosses pointures de la presse privée. Même Nicholas Burns, du New York Times, en a été pour ses frais. Plus de deux mille comités de soutien à sa candidature ont vu le jour. Les partenaires traditionnels de l’Algérie ont mis à contribution leurs services de renseignements pour évaluer l’évolution du personnage. Bouteflika a sans doute vieilli depuis son retrait des affaires. Mais la manière dont il mène sa campagne montre qu’il n’a pas perdu la main. En s’abstenant de critiquer ceux qui l’ont naguère écarté du pouvoir, il fait coup double : il évite d’apparaître comme un revanchard et impose, au contraire, une image de rassembleur. http://www.jeuneafrique.com/jeune_afrique/article_jeune_afrique.asp?art_cle=LIN06046abdelakilfe0 |
cet article n’est qu’un passage d’un petit rasoire sur une pelouse dun vaste chantier submerger de crimes et d’assasinas de personnes qui aiment l’agerie pas pour ses richesses mais par leur appartenance à ce pays grand comme le monde et les gens comme botef,boumediene ou ben bellaet tous les genereaux qui ont fait couler beaucoup de sang d’innoscents jusqu’à nos jours ne fait pas plaisir à la génération qui a donner tout ce qu’elle à pour que l’algerie se débarasse de l’emprise du colonialisme mais ne faura pas non plus plaisir à toutes les générations qui svont venir apres car la honte est tomber sur notre pays et il faut que ces boureau meurent chacun avec une peste chronique pour que les enfants de demain auront peut etre la chance et la fièreté de dire que nous sommes des algeriens mais pas des arabes!vive l’algerie vive les berberes!
mr boualem , tres bonne année 2008!!!
ton texte me fait plaisir et je t’en remercie !
bonne année a toi aussi eldzayer , et j’espere que tu vas continuer longtemps ton blog !
ar tufath !
laisse tomber ta rancune monsieur boualem le kabyle envers notre pays on es avec notre president avec ses qualités qui sont plus que ses defaut il suffit qu il as sacrifié sa jeunnesse pendant des moments difficile de guerre pour notre liberation et prend le meme defit aujourdhui pour nous vivant dans la paix et vous les kabyles vous vous etes eloigné de l islam chose qui vous as laissé exploité par des idées venant des enemis de notre pays vous ne presenté que un petit porcentage de la population c est pourquoi vous n aurais jamais l influence sur nous vous ne faite que detruire vos villes natales car moi personellement je n aurais jamais le gout de venir en kabylie rah nkasskoum el karam oua chahama oua nif . rabi yahdikoum
à Lamia et à tous les kabymlophobes,
L’Algérie ne se remettra jamais tant qu’il y aura des personnes comme vous.
Pourquoi ne pas, dans ce cas-là, critiquer tous les colonels de l’ALN qui viennent de Kabylie ? Et il y en a beaucoup.
Pourquoi ne pas critiquer tous les Djounoud de l’ALN qui viennent de Kabylie et ils sont majoritaires !
Heureusement que ces Djaounoud et Colonels ne pensaient pas comme vous, sinon on aurait toujours nos ancêtres les gaulois.
Quant à Bouteflika et son clan d’oujda qui a confisqué, par les armes la liberté du peuple (naissance du terrorisme en août 62), il suffit de voir le nombre de mendiants, de Harragas, de chômeurs pour faire un constat de tout le mal qu’a fait ce régime.
Bouteflika qui a chanté les bienfaits du socialisme, a fini par vendre la souvraineté de l’Algérie aux multinationales.
à lamia ; QUI TE DIT QUE BOUALEM EST KABYLE ? tout ce qu’on peut dire c’est qu’il est berbere !
lit bien ce qu’a écrit mohand , ça te cultiveras un peu .
lamia je ne suis pas kabyle est je suis contre cet energumene de bouteflika qui va mener le pays tout droit vers le chaos autra chose pendant que les valeureux moujahidines tombaient au champ d’honneur ton bouteflika dixit abdelkader el mali etait ou ?? au mali mort de rires moudjahid des frontieres maliennes il a du y passer du bon temps pas d’ennemis en vue rires je voudrais juste te poser une question pourquoi avec tant d’argent tant de miseres de herragas qui meurent en mer a cause de ton bouteflika pendant que d’autres cherchent dans les poubelles pour se nourrir que t’a apporté bouteflika qu’a t’il apporté a l’algerie?? la paix ben c’est plutot mal reparti si j’ose dire vu les attentats et la recrudescences d’actes terroristes vive l’algerie avec sa diversité de bejaia a tamanrasset en passant par batna sans oublier oran vive l’algerie debarassé des gens qui ont trahi le sang de nos martyrs et des ecervellés comme toi c’est grace au betail que les systemes autoritaires durent et perdurent
Au lieu d’arbitrer les querelles de vieilles concierges, il faut se poser les vraies questions non dévoilées par quiconque à ce jour..
« l’Algérie appartient-elle aux riches ou à ses gueux…? »
Apppartient-elle réellement aux algériens si c’est oui, alors qui sont-ils réellement?
Aussi qui détient véritablement la clef du cosmos?
à margalida , la clef du cosmos c’est dieu qui la détient tout comme l’algérie est amazigh ;
voilà c’est simple les réponses à tes questions .
Salam, mes frères et soeurs.
je viens de lire l’article sur Bouteflika et j’ai lu aussi les commentaires. je trouve l’artcle pltuôt positif. Ce que j’ai retenu surtout du personnage de l’actuel président, tel que déssiné par l’auteur du papier, c’est surtout, son intéligence, sa ruse, sa précocité, son sens de la politique, son attachement à des personnages de l’histoire de l’Algérie, que moi personnellement je respecte. En bref c’est un politique doué, qui en plus un CV en betton grâce à sa longue expérience. C’est toujours mieu qu’un président mou et son éclat. Maintenant pour les querelles stériles que je viens de lire à travers les quelques commentaires, je dois dire que, sincèrement, ça me désole. On peut être pour ou contre la manière de diriger d’un président, là n’est pas le problème, mais je crois que le minmum serait de donner son opinion d’une manière constructive, pour nous. Nous sommes des Algériens. On n’est pas n’importe qui. Il fût un temps où nous étions des exemples pour les esprits libres du monde entier. Cessons de nous haïr. Retrouvons le meilleur qui est en nous. Nous l’avons toujours.
الرحــيــم
AFFAIRE R.G ANNABA
Moi, « BENMAHAMMED KAMEL « , frère de » SAMIR –EX : directeur des R.G Annaba
Emprisonné injustement depuis près de deux ans à la prison ALLALIGUE Annaba
, et ayant épuisé tous les recours légaux, suis prêt à offrir un de mes reins, pourvu que Monsieur
« LE PRESIDENT BOUTEFLIKA Ordonne une enquête qui mettra à jour les véritables coupables pour qui
Mon frère est en Train de payer.
قضية مدير الاستعلامات العامة بعنابة– سابقًا:
أن المعني أسفله أتعهد أمام الله والشعب الجزائري أنني مستعد للتبرع بإحدى »كليتي »، فلو تدخل الرئيس شخصيًا وأمر بفتح تحقيق على أعلى مستوى (الأمن العسكري أو الدرك) وذلك من اجل إظهار الحقيقة فيما يخص المؤامرة القذرة التي حيكت ضد شقيقي السيد: بن محمد محمد سمير عميد الشرطة ومدير الاستعلامات العامة (السابق) بعنابة والموجود بسجن العلاليڤ من حوالي 24 شهرًا، للعلم ،أن قاضي تحقيق –القالة- أعطى مرتين (انتفاء وجه الدعوى) ولكن الضغوطات التي مورست من طرف نائب رئيس أمن عنابة السابق وشقيقه حالوا دون ذلك لأن النائب هو صهر جنرال في الجيش الجزائري.
شقيقه بن محمد كمال
قم الهاتف: 0662.07.45.17
O+
bonjour voila jai entendu des rumeure qe mr le president abdelaziz bouteflika serai deceeder pourier vous me dire si set vrai ou pa mersi de bien vouloir me repondre
allah yarham chouhada ali matou 3la had labllad bassah lokan 3labalhom wach rah yassra yanadmou a3llah sablou rwahhom pour l algerie wach ngolalkom rah yathasbou kamal 32and rabi / boudaiaf ou gatllouh franca hakmatou ou magatlatopuch waydji abdelkadar al mali m3a nazzar ou yahakmou a3lih balmout a3la khatarch hab yssagam lablad ya cha3b rak ragad l algerie ba3oha wahna saktin allah yahram chopuhad iali matou
le pouvoir demeure le plus important et le mal compris..et tout le monde a raison et tout le monde n a pas raison…c’est un jeu de prèstige, qui va durer longtemps car arriver à ce stade le mode de vie avec ces multiples ingrèdiants ne sera pas nègociables.
des envieux , des jaloux voila pour ceux qui n arretent pas de charrier des inepties sur le president bouteflika , un homme qui a sacrifie sa jeunesse et continue a defendre la dignite de cette algerie que certains une fois arrivés en france deversent leur venin et leur fiel sur cet homme que bea
SALAM ALLIKOUM LIRE VOS COMMENTAIRES PARFOIS A LA LIMITE DE LA HAINE EST FRANCHEMENT HABERRANT COMMENT VOULEZ VOUS QUE LES EUROPEENS OU AUTRES HETNIES NOUS PRENNENT AU SERIEUX SI ENTRES NOUS NOUS SOMMES RACISTES QU ELLE HONTE D ETRE COMME CA ENTRES ALGERIENS PENSER LIBERTEE EGALITEE FRATERNITEE HONNEUR (DANS NOTRE BEAU PAYS COMBIEN DE VOS AIEUX ONT ILS LAISSER LEURS CHAIRS ET LEURS SANGS DANS UN FOSSE OU DANS LA RUE TUER EGORGES OU ASSASINER PAR LES GENS QUI VOULAIENT S APPROPRIER NOTRE SPLENDISE ET TRES RIHE PAYS MACHALLAH MONSIEUR BOUTEFLIKA A DONNER SA JEUNESSE ET SON AMOUR DU PAYS SANS JAMAIS EN FAIRE TOUT UN ETAT PUBLIC OU DANS DES JOURNAUX IL A FAIT SON DEVOIR DE BON CITOYEN ET A DONNER TOUT CE QUI ETAIT EN SES POSSIBILITEES DE FAIRE QUELQUE CHOSE DE CONCRET ET DE PERDURANT POUR NOTRE PAYS L ALGERIE NE L OUBLIEZ JAMAIS NOUS AVONS EU ET AVONS TOUJOURS ET ENCORE QUELQUES UNS DE CES MESSIEURS UN MILLIONS DE MERCI A LEURS PARENTS DE LEURS AVOIR DONNER LA VIE ET DE LEURS AVOIR INCULQUER QUELQUE CHOSE DE NOBLE L AMOUR IMMENSE DE LEURS PAYS ET DE LEURS FRERES LE PEUPLE ALGERIENS FAITES COMME LE PEUPLE ISRAELIENS SERTRER VOUS LES COUDES MARCHEZ LA MAINS DANS LA MAIN SECONDEZ VOUS LES UNS LES AUTRES ET LE PEUPLE MUSULMANS REUSIRAS DANS L AVANCEE A TRAVERS LE MONDE ET NOTRE PEUPLE SERAS LE PLUS FORT MAIS AUSSI IL FAUT QUE NOS ENFANTS TRAVAILLES AU LIEU DE TOUS VOULOIR ETRE PATRON OU DE PARTIR DANS D AURES CONTREES QUI SONT NEFASTES ET NAUSEABONDES A DEVENIR CLOCHARS OU VAGABONDSDANS LES PAYS LES PLUS RACISTES DE L EXTERIEUR DE LEURS BLEDS NATALS ONT EST NES EN FRANCEOU DANS LES PAYS EUROPEENS ET ONT EST DEGOUTES DE VOIR COMMENT ONT EST ET LE SONT NOS ENFANTS TRAITER COMMES DES RATS D EGOUTS ET DES BONS A RIEN DONC ENFANTS DE NOTRE PATRIE TRAVAILLEZ ET ESSAYER DE FAIRE QUELQUE CHOSE DE VOTRE AVENIR MONSIEUR lE PRESIDENT A FAIT BEAUCOUP ET CONTINUE DE FAIRE POUR NOUS LES GENS DU PAYS AIDER LE A FAIRE MONTER ET ENRICHIREN BONNE ENTENTE ET SANS HAINE ENSEMBLES QUE DIEU VOUS AIDES ET QUE SA BENEDICTION SOIT SUR LE PEUPLE DE MON COEUR lepeuple algerien vive l algerie et mon pays pour qui des millions d entres eux ont donner leurs vies sallam ou rahmatoullah