20 septembre, 2007

Enseignement de Tamazight

Classé dans : Tamazight — eldzayer @ 6:40

Le nouveau manuel de langue amazighe de Sadaq Bendali  

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Les enseignants de tamazight montent au créneauEnseignement de Tamazight dans Tamazight 1614_45565

Douze ans après son introduction dans le système éducatif algérien, suite à une lutte acharnée menée par plusieur s générations de militants, l’enseignement de la langue amazighe reste prisonnier de plusieurs considérations malveillantes.

La situation que vivent les enseignants de cette langue met au clair les innombrables problèmes qui guettent son épanouissement. D’un côté, des responsables sans scrupule dressent moult embûches devant  son enseignement en refusant d’appliquer les multiples recommandations ministérielles. Le manque d’enseignants spécialisés et à l’évidence, est dû au manque de volonté politique pour assurer les financements nécessaires pour la promotion de tamazight.

De l’autre, la gestion unilatérale du corps professoral en procédant dans les premières années de son enseignement au recrutement à la pelle, devient aujourd’hui, un point noir que d’aucuns hésitent à soulever. Le cas des enseignants contractuels, qui ont honoré leur engagement pendant plus de trois ans, se retrouvent sans aucun statut. Ces mêmes enseignants sont contraints, chaque année, aux errements dans les couloirs des administrations afin de trouver une oreille attentive à leurs doléances.  

Sur le plan didactique, l’enseignement de la langue amazighe reste toujours rudimentaire, est-elle une volonté de saper son enseignement ou tout simplement, tamazight est une idée non grata au sein de l’école algérienne ?

A Bouira, où un département de langue et civilisation berbères devait ouvrir ses portes, une suite négative a été réservée par les responsables de l’université de ladite ville à ce projet. Le report de sa mise sur pied est conditionné à l’absence d’infrastructures d’accueil. Une chose qui sera démentie par un autre responsable qui parlera, plutôt de maque d’enseignants. Derrière ces sempiternelles fuites en avant se cache, malheureusement, une volonté politique négationniste nourrie par les années de discrimination sévissant à l’encontre de cette langue. 

Un  autre problème sérieux qui empoisonne cet enseignement, est celui du caractère facultatif des cours au nombre et au statut des enseignants. Le caractère facultatif a fait que peu de wilayas d’Algérie dispensent cet enseignement.

Outre cet aspect de libre choix, il y a le problème lié à la langue, celui de la normalisation, une question qui a soulevée un tas d’interrogations chez les linguistes et chercheurs.

L’urgence, selon des spécialistes, est de doter cette langue d’une académie, d’un organe qui s’occupera de son enseignement. Autrement dit, de faire appel aux chercheurs de rang doctoral qui proposeront des normes d’écriture adéquates, de syntaxe appropriée, pour dépasser le stade de l’oralité.

Le système graphique pour tamazight, un autre débat, qui a du mal à recueillir un consensus entre les partisans du caractère latin et ceux du caractère arabe, car beaucoup de chercheurs assimilent cette question à une manipulation politicienne grossière.

http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=45565&ed=MTYxNA==

18 septembre, 2007

Kamikazes, Harragas et l’école de Benbouzid

Classé dans : L'école Zid ya Benbouzid ! — eldzayer @ 3:36

Les années passent et se ressemblent. Le système scolaire est en faillite et cela, tout le monde le sait. Les exclus des bancs de l’école augmentent chaque année. Pour diverses raisons, des jeunes de 16 à 18 ans sont livrés à la rue.
A cet âge-là, nul n’ignore le danger qui guette cette frange de la population qui peut verser dans la délinquance, et c’est la société toute entière qui payera le prix de cette dérive. Harraga et kamikazes ne sont pas venus d’une autre planète.

(Tout l’article)

Baron de la drogue et réconciliation

Classé dans : Non classé — eldzayer @ 3:28

…. Il y a lieu de rappeler, cependant, que l’ex-baron qui s’est rendu de son propre chef, a exprimé son souhait de bénéficier des dispositions de la charte de la paix et de la réconciliation nationale en sa qualité de financier du terrorisme. Zendjabil a révélé des informations compromettantes et fracassantes au sujet de l’implication de hauts fonctionnaires de l’Etat qui ont trempé, durant les années du terrorisme, dans le trafic international de drogues et stupéfiants. L’affaire promet de faire des sensations et des vagues dans le camp de ces anciens et puissants responsables de la wilaya d’Oran …

(Tout l’article)

La main de l’étranger

Classé dans : Chroniques de Hakim Laâlam, Le Soir d'Algérie — eldzayer @ 3:04
ENCORE CETTE SATANÉE MAIN DE L’ÉTRANGER !
La main de l'étranger dans Chroniques de Hakim Laâlam, Le Soir d'Algérie pousse Par Hakim Laâlam  
Email : laalamh@yahoo.fr
Regroupement familial et test ADN. Y a pas qu’en France.
Encore un peu de patience, et Benhadj devra s’y soumettre.

Inch’Allah !

Et voilà qu’elle revient ! Elle est tenace la bougresse ! Plus tenace que la main de l’étranger, je n’en connais pas. Sa dernière trouvaille, c’est de lancer les prénoms des frères du président dans les travées de l’affaire Khalifa. C’est tout de même terrible tout ça ! Pourtant, un procès Khalifa s’est tenu en Algérie. Un méga-procès que tout le monde a qualifié de procès du siècle. Un procès que tout le monde ou presque a considéré comme un modèle du genre. Un procès qui a eu lieu dans la transparence totale

(Suite …)

Mauvaise gestion …

Classé dans : Non classé — eldzayer @ 2:33

Mauvaise gestion ... benbitour-04-elkhabar_copy img-ombre-haut-droit
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Benbitour considère que la mauvaise gestion menace les générations futures
Le Gouvernement appauvrit le peuple en le privant de 150 milliards de dollars

(Suite …)

17 septembre, 2007

Où va l’Algérie ?

Classé dans : L'Algérie de Bouteflika II — eldzayer @ 4:40

La culture globale de certains algériens, minoritaires mais fort bruyants et omniprésents, toutes générations confondues, doctorants et analphabètes, est malsaine parce que fondée sur des mythes hallucinants. Tous les jours on entend ces bravaches, citadins et ruraux, nantis et misérables, chefs et plantons, tresser des lauriers à la classe dirigeante, aux puissants et injurier le peuple, les faibles en toute impunité. Pour ces laudateurs des puissants et insulteurs professionnels du peuple, des faibles, jusqu’à un passé réent : Boumediene, Chadli, Mohamed Boudiaf, Ali Kafi, Yamine Zeroual, Abdelaziz Bouteflika et leurs collabos sont ou étaient des : « des experts politiques, des hommes « Providentiels » et, des libérateurs et des sauveurs d’une Algérie révolutionnaire, industrialisante et moderne… ? » L’Algérie et la classe politique, ancienne et actuelle, sont à l’image de ses gouvernants civils et militaires passés et actuel. Ces gouvernants se sont imposés par la force, contre la volonté du peuple. Un peuple ne portera jamais des escrocs au pouvoir. Plus de 98% des ministres de Bouteflika sont nés au Maroc ou issus de la bande frontalière avec Maroc. Le restant du territoire algérien serait-il stérile en femmes et hommes politiques compétents et intègres ?

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La situation sécuritaire nettement améliorée depuis … 1999

Classé dans : Chroniques de Hakim Laâlam, Le Soir d'Algérie — eldzayer @ 4:17

Maintenant, on peut le dire ! On peut même l’affirmer sans risque de se tromper ! La situation sécuritaire s’est nettement améliorée depuis 1999. C’est indéniable. Avant, nous avions affaire à des terroristes réels, en chair et en os. Aujourd’hui, en plus de cette catégorie de tangos, il nous faudra aussi composer avec les fantômes des émirs. Y a qu’à aller sur le site du journal le Matin, suspendu en version papier, mais bien présent en ligne, sur Internet pour s’en convaincre. Celui qui dirige actuellement Al Qaïda pour le Maghreb, un gus répondant au doux nom de Droukdel, aurait été en fait abattu en 2004. Comment un mecton flingué en 2004 peut-il diriger d’une main de fer les maquis GSPC en 2007 ? Une histoire de dingues, à laquelle il faut ajouter une autre histoire de dingues. Selon le journal Liberté d’hier dimanche, le maquis GIA complètement éliminé, écrasé, éradiqué avant 1999 se serait reconstitué ces derniers mois entre Médéa et Blida. Plus dingue encore, le fameux heb-heb ! On n’en avait plus entendu parler depuis fin 97, début 98. Et voilà qu’il refait une apparition spectaculaire dans le ciel de la bonne ville de Batna. Une ville qui a été le théâtre d’une autre forme d’«amélioration» de la situation sécuritaire, puisque, depuis l’autre jour, un kamikaze a ouvert le bal des bombes humaines lancées contre un cortège présidentiel. Et face à une telle «embellie», face à un climat aussi propice à la relance économique et à la relance de la confiance citoyenne envers les institutions, on dit merci à qui ? A Abdekka, voyons !
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Le crack fait son entrée en Algérie

Classé dans : L'Algérie de Bouteflika II — eldzayer @ 4:01

Du concentré de cocaïne découvert par la police

Le crack fait son entrée en Algérie

Pour la première fois en Algérie, une quantité de crack (concentré de cocaïne prêt à l’utilisation) a été découverte il y a quelques jours à Bordj El Kiffan.

 «C’est la première fois qu’on découvre du crack en Algérie», a révélé Sid Ali Chettouf, chef de la section de la police judiciaire de la Sûreté de daïra de Dar El Beïda
Le crack fait son entrée en Algérie dans L'Algérie de Bouteflika II Lejour1

Corruption, malversations, détournements…

Classé dans : L'Algérie de Bouteflika II — eldzayer @ 3:36

Des justiciables au-dessus de la loi

Le juge d’instruction près le tribunal de Bab El Oued, à Alger, a entendu hier les quatre cadres de la police impliqués dans l’affaire de Achour Abderrahmane, richissime commerçant au centre du scandale de la Banque nationale d’Algérie (BNA).

Il s’agit de la dernière étape de l’instruction avant de clore ce dossier volumineux qui à ce jour n’a pas levé le voile sur les circonstances qui ont permis la remise par les services de police d’un document qui le blanchit et qu’il a utilisé au Maroc pour se défendre contre son extradition. Le parquet de Bab El Oued a inculpé, faut-il le rappeler, l’ex-chef de la sûreté de wilaya de Tipaza, Zouaï, placé en liberté provisoire, et l’ex-directeur de la clinique des Glycines, Sbih (fils de l’ambassadeur d’Algérie en France), gardé sous contrôle judiciaire, alors que l’ancien commissaire de Koléa, Gherzouli, a bénéficié d’un non-lieu. Les chefs d’inculpation retenus contre eux sont, entre autres, corruption, abus d’autorité, faux et usage de faux. La chambre d’accusation a confirmé les décisions du juge, alors que neuf autres policiers et officiers de police, ainsi que six commerçants ont été entendus en tant que témoins. C’est à la suite d’une enquête décidée par les plus hauts responsables de la Sûreté nationale que le pot aux roses a été découvert, même si à ce jour de nombreuses zones d’ombre restent entières tant les vrais protecteurs ou parrains de Achour Abderrahmane au sein de l’institution policière n’ont pas encore été inquiétés. Les services de la police judiciaire d’Alger, auxquels l’enquête a été confiée, n’ont malheureusement pas réussi à démasquer toutes les complicités qui ont permis à Achour Abderrahmane d’obtenir le document, alors qu’il était déjà sous le coup d’un mandat d’arrêt, pour lui permettre de quitter le territoire national en toute quiétude. Il s’agit en fait d’un rapport de quelques paragraphes établi par la brigade économique de Tipaza déclarant (en trois jours) l’enquête menée en 2004 sur les pratiques de Achour Abderrahmane infructueuses, alors que les mouvements des chèques de cavalerie, les crédits non garantis et le jeu de traites creuses et croisées se sont poursuivis jusqu’à novembre 2005. En détention provisoire depuis son extradition du Maroc en novembre 2006, après une bataille juridique de plusieurs mois, Achour Abderrahmane est soupçonné aussi d’avoir détourné de la BNA quelque 32 milliards de dinars. Il a été inculpé avec 32 personnes, dont ses associés, sa secrétaire, son épouse et les responsables des agences BNA de Bouzaréah, de Zighoud Youcef, de Cherchell, de Koléa, ainsi que l’ex-PDG de la BNA (M. Chikhi), son inspecteur général, le directeur régional et celui du réseau exploitation, deux commissaires aux comptes, deux experts-comptables, le directeur du service informatique pour, association de malfaiteurs, dilapidation de deniers publics, faux et usage de faux en écriture bancaire, escroquerie et chèques sans provision. Parmi les mis en cause, 15 ont été mis sous mandat de dépôt, notamment les responsables des agences, alors que deux autres sont concernés par des mandats d’arrêt, dont un international, à l’encontre de l’ex-directeur de l’agence BNA de Bouzaréah, actuellement à Londres. Hier, au tribunal de Bab El Oued, saisi du dossier lié au rapport de la brigade économique de la sûreté de wilaya de Tipaza, la surprise a été générale dans les rangs de la défense. L’ absence de l’un des inculpés, à savoir l’ex-directeur de la clinique de la sûreté nationale, Les Glycines, M. Sbih, a suscité de vives interrogations. Alors que tout le monde était en vacances, et moins d’un mois après que la chambre d’accusation ait confirmé sa mise sous contrôle judiciaire, celle-ci revient sur sa décision pour le mettre en liberté. L’explication de cette mesure, il faut la chercher ailleurs, révèlent certaines sources au fait du dossier. Là où Mir Ahmed, l’ex-inspecteur général de Khalifa Airways condamné dans le cadre de l’affaire Khalifa à deux ans de prison ferme, a réussi à bénéficier d’une liberté provisoire pour quitter la prison et, quelques mois après, le pays, à destination du Canada où il est installé. Comment a-t-il pu quitter le territoire national alors qu’il était sous le coup d’une liberté provisoire ? Une lourde interrogation comme celle qu’a suscité le scandaleux procès de l’ancien président de l’Association nationale des zaouïas, Kaddour Gouaïche, conseiller du président de la République. Enrôlé à la dernière minute, sans informer les avocats, ce procès a eu lieu très tard dans la nuit et s’est terminé par la condamnation de Gouaïche à quatre ans de prison, dont trois avec sursis. Le plus scandaleux pour la défense est le prononcé du verdict. En effet, le juge a déclaré le verdict contradictoire, alors que l’ex-conseiller du Président n’était pas présent aux débats. Une décision qualifiée de choquante par les avocats. Ces cas de justiciables au-dessus de la loi ne sont pas isolés et ont tendance à se multiplier ces dernières années, et prouvent que la justice n’a pas encore arraché son indépendance.

Salima Tlemçani

Les coups bas de Abdelaziz Bouteflika

Classé dans : L'Algérie de Bouteflika — eldzayer @ 2:35

La manière dont l’actuel “Président” de
la Berbérie centrale (dite “Algérie”) défend et impose une langue venue de l’étranger, l’arabe, en prétendant que c’est à cause de
la France qu’elle n’a pas été parlée pendant “132 ans” relève d’une vulgarité des plus affligeantes. 

Et d’abord, pourquoi un tel coup bas, s’il était sûr de son fait ? 

Parce que, récemment, il semble que de nombreuses familles aient décidé d’envoyer leurs enfants apprendre plutôt le français (qui descend du latin, parlé et développé par leurs ancêtres comme Apulée et Augustin) dans des lycées privés ; les lycées publics étant de toute façon parasités par des endoctrinés arabo-islamistes ânonnant toujours qu’avant l’arrivée des Arabes il n’y avait rien d’autre que l’obscurité et la sauvagerie. 

Le fait qu’il existe en effet des Berbères arabophones descendants, minoritaires, des berbéro-andalous ne signifie pas cependant que leur “arabe” soit comparable avec celui importé d’Arabie Saoudite ! 

N’oublions pas que ledit “arabe dialectal” n’existe pas, il s’agit plutôt d’un “parler populaire” comme le dit Kateb Yacine, qui mêle autant de parlers berbères, juifs, andalous, syriens, perses, kurdes, turcs, maltais, romains, avec un mot d’arabe sur dix ; autant dans ces conditions avancer que le français serait du latin populaire ! et qu’il faudrait dans ce cas revenir au latin “pur”. 

Sauf que Bouteflika va bien plus loin parce qu’il ne cherche même pas à admettre qu’il pourrait faire de ce parler populaire “algérien” une langue à part entière aux côtés du Berbère et du Français, non, alors que
la Suisse a bien trois langues officielles et l’Inde 18 ou 19 ! Il veut combattre autant le parler populaire dit “arabe dialectal” que le français et le berbère, ce qui en dit long sur la volonté d’éradication du passé et du présent berbère dont la diversité est réduite au rang de folklore et de vestiges archéologiques. 

Bouteflika veut en réalité imposer la langue dont s’est servi le nationalisme arabe pour dominer alors que s’il peut être compréhensible qu’un Egyptien parle arabe depuis le temps que ses ancêtres le parle (ce qui est moins vrai du Syrien), il est mensonger de laisser croire qu’il était parlé de façon majoritaire en Afrique du Nord avant l’arrivée des Français. 

De toute façon Bouteflika ne cherche pas à imposer l’arabe parce qu’il aurait été la langue profonde d’un pays qui se serait battu jusqu’à la mort pour la parler sous les Turcs et les Français, ce qui évidemment n’a jamais existé. 

Bouteflika veut imposer l’arabe parce qu’il continue à adorer cette idole, cette chimère raciste qu’est le national-araboislamisme, celui-là même qui a permis à la poignée de voleurs ayant parasité la guerre dite d’Algérie de continuer à faire croire qu’ils se battaient pour une “Algérie algérienne” alors qu’ils roulaient pour le compte de Nasser, de
la Syrie, de l’Arabie Saoudite ; 

Ce qui impliquait d’épurer ethniquement la terre berbère de ses frères juifs et français (maltais, siciliens, corses, espagnols…), frères, parce qu’étant nés sur le sol de Massinissa, d’Hannibal, d’Augustin, de Dihya, ils sont frères de lait, et ceux qui ne veulent pas d’eux doivent partir rejoindre leurs maîtres, là-bas, en Arabie. 

Aussi il faut défendre ces Berbères qui préfèrent renouer avec la langue issue de celle de leurs ancêtres, le français, parce que les Berbères peuvent avoir plusieurs langues, plusieurs religions…ou aucune (ce qui ne veut pas dire absence d’éthique évidemment…).  Il faut en finir avec le mensonge historique de “nos ancêtres les Arabes”, singeant si idiotement le “nos ancêtres les Gaulois”. 

Par LSA Oulahbib 

 

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