Ulac smah, ulac
♣ Terrorisme d’état – Clan d’Oujda
Les 2 B et Hassean II devant un char !
Ulac smah, ulac
l Et 53 dans l’oeil de la main invisible ! C’est pour la 53e fois ara d-fghent tbehnuqin blanc, vert et rouge. Cette fois-ci, nos couleurs nationales canonisent djazair el âiza wa el karama. Et cinq dans l’œil du jaloux ! Au tout début, au lendemain du “mythe fondateur de la nation algérienne”, tibehnuqin-nnegh étaient persuadées que “Lezzayer n lwaldin tehia s idamen n cuhada !” et que c’est fini ifuk rebbi lhif.
C’est le Clan d’Oujda qui m’a tuer
C’est le Clan d’Oujda qui m’a tuerPosté le 05.01.2008 par cestleclandoujdaquimatuer
Moi aussi, c’est le Clan d’Oujda qui m’a tuer.
Comme M. Abdelkader Messahel, actuellement Ministre Délégué, Chargé des Affaires Maghrébines et Africaines, j’ai commencé ma carrière au Ministère des Affaires Etrangères, dont je suis aujourd’hui retraité, au début des années 1970, avec le grade de Chancelier des Affaires Etrangères.
A un moment donné de l’évolution de ma carrière, qui se déroulait le plus normalement du monde puisque, grâce à mes efforts personnels, j’ai pu réussir aux différents examens internes que j’ai passés pour devenir, d’abord Attaché, ensuite Secrétaire et enfin Conseiller et Ministre Plénipotentiaire, j’ai malheureusement rencontré sur mon chemin un homme de mal, sans foi ni loi, qui avait juré, à mon insu et pour des raisons que j’ignore encore, de me « détruire ».
Ce qu’il fit effectivement avec la complicité de l’Administration Centrale du MAE et des Services de Sécurité car cet énergumène, que les Diplomates algériens reconnaitront facilement, est le beau-frère d’un baron du Clan d’Oujda, assassiné en 1994, en même temps que son fils, son frère et ses deux gardes de corps par « Monsieur Hassan Hattab ».
J’ai su, par la suite, que ce lugubre personnage a également fait du mal à de nombreux collègues du MAE dont il a brisé la carrière et ce ne sont sûrement pas les deux ou trois collègues, dont il a favorisé la carrière pour des considérations purement régionalistes, qui pourraient me contredire.
Je saisis cette occasion pour rendre un vibrant hommage aux milliers de cadres algériens qui servaient, tous secteurs confondus, le pays, rien que le pays loyalement et avec un dévouement et un désinteressement exemplaires mais qui ont été victimes de l’ostracisme des différents Services de Sécurité, à la solde du régime dont l’ennemi étaient ses cadres propres et compétents et les intellectuels qui refusent sa logique prédatrice et non pas les milliers d’activistes islamistes qui s’appropriaient les mosquées, les écoles et les espaces socio-culturels et investissaient massivement les différentes institutions de la République, minée par la corruption et la cupidité de ses dirigeants trop occupés par l’accumulation primitive de biens matériels.
Pouvoir, que de crimes odieux ont été commis en ton nom !
Post-Scriptum 2 : Le Changement est possible, maintenant.Posté le 09.01.2008 par cestleclandoujdaquimatuer
Lorsque, dans mon précédent Post-Scriptum, intitulé : »C’est le Clan d’Oujda qui m’a tuer », j’ai dit : »l’heure de la relève a sonné », j’exprimais, en toute humilité, une conviction forte et profonde que je sais, partagée par l’écrasante majorité de nos concitoyens, écoeurés de voir le pays, plus de 45 ans après son Indépendance, encore entre les mandibules rouillées de ceux qui sont, d’une manière ou d’une autre, responsables de tous les drames que le peuple algérien a subis depuis 1962.
Je suis convaincu, tout comme vous d’ailleurs, que les conditions objectives sont aujourd’hui, plus que jamais, réunies pour qu’un changement générationnel dans la Direction du pays puisse se produire dans la sérénité nécessaire et les membres influents du Clan d’Oujda le savent pertinemment mais ils cherchent à mettre la nation devant le fait accompli, dans le seul but de continuer à « jouir » de l’influence et des avantages matériels considérables que leurs fonctions respectives actuelles leur procurent.
En effet, alors que la plupart des pays d’Asie, d’Afrique, d’Amérique Latine et d’Europe Centrale et Orientale, qui étaient dans une situation politique, économique et sociale pire ou similaire à la nôtre, avaient pacifiquement ou au prix d’une violence minimale, effectué la mue nécessaire à leur adaptation aux exigences du XXIième siècle, l’Algérie recule tragiquement, dans tous les domaines, au point gravissime où les quelques acquis démocratiques engrangés depuis Octobre 1988, au prix d’énormes sacrifices consentis par des patriotes sincères, sont aujourd’hui sérieusement menacés par un régime que le Président Sarkozy dit « préférer à celui des talibans » ( bien triste comparaison, qui nous rappelle celle, aussi grave du « moins mauvais candidat » ) et dont le Président nage à contre-courant de l’Histoire.
Même les « Apprentis-Présidents » ( Chadli et Zéroual ), dixit « l’Apprenti-Dictateur », n’avaient pas osé franchir ce pas infâme. Bien au contraire, le « Général Major », Liamine Zéroual est le père de la Constitution « libérale » de 1996, qui pose aujourd’hui problème au « Commandant » Abdelkader.
La majorité silencieuse doit donc briser son silence pour imposer « le changement, maintenant » car tous les jours que le clan d’Oujda passera encore aux commandes du rafiot « Algérie », grâce à la ruse et à la duplicité, vont accentuer sa dérive.
Les classements et notes attribués à l’Algérie , ces dernières années, par différentes institutions internationales, sont révélateurs de l’état peu reluisant du pays, dans de nombreux domaines.
Si chacun de nous prend sur lui de relever le défi simple de rappeler à ses amis et proches que » le changement est possible, maintenant » et de leur demander de faire de même avec leurs amis et proches et ainsi de suite, nous serons, d’ici à Janvier 2009, des milliers , des centaines de milliers voire même des millions à porter cette volonté commune, enfouie dans notre mémoire collective meurtrie et à la voir se matérialiser.
Les milliards de dinars algériens, qui vont servir, sans aucun doute, au financement occulte de la campagne démagogique et populiste pour le 3ième mandat, menée à tambour battant par Belkhadem et ses alliés de l’ex-FIS, des zouis et du FLN, tendance islamiste, et qui seront puisés, comme pour la campagne de 2004, de la cagnotte constituée grâce à l’exploitation sauvage des ressources naturelles non renouvelables du pays par les compagnies étrangères et la Sonatrach, ne pourront pas arrêter le tsunami social en gestation car, dans ce pays, les bonnes volontés encore beaucoup plus nombreuses que le Clan d’Oujda ne le croit.
Merci de recommander, à vos nombreux amis et proches, les blogs, sites internet et articles suivants :
Blogs :
-http://nonauntroisiememandat.centerblog.net
-http://contreleclandoujda.centerblog.net
-http://cestleclandoujdaquimatuer.centerblog.net
Sites internet :
-Le Matin d’Algérie Online
-Tout Sur l’Algérie
Articles :
« Le Clan d’Oujda » sur Google.fr et Yahoo.fr
Post-Scriptum à : C’est le Clan d’Oujda qui m’a TuerPosté le 07.01.2008 par cestleclandoujdaquimatuer
Réponse au commentaire de M. Wahab BNIDIR, paru dans « Le Matin d’Algérie Online », à la suite de l’excellent article de Hassane Zerrouki, intitulé « Révision constitutionnelle : le calcul sordide de Belkhadem ».
Merci cher collègue pour tes paroles, oh combien encourageantes et réconfortantes, en ces temps de démission et de soumission quasi-générales.
Hélas, mille fois hélas, les vieux démons de la haine et de la division ont été ressuscités par le Clan d’Oujda revanchard qui, depuis bientôt neuf ans, n’a cessé de mépriser les citoyens originaires des 47 autres wilayas du pays, par un népotisme et un régionalisme « à la limite du racisme ».
Moi aussi, je me souviens, comme si cela datait d’hier, de la vive réaction de M.S. BENYAHIA, Ministre des Affaires Etrangères et de son Secrétaire Général, M.S. DEMBRI, lorsque feu Abdelmadjid Mohammedi, Directeur de l’Administration Générale, une autre victime de la persécution criminelle du Clan d’Oujda, leur avait présenté la « configuration régionale » des effectifs du MAE, services extérieurs et administration centrale, issus à plus de 90% de la wilaya de Tlemcen et d’une ou deux autres wilayas limitrophes : « C’est scandaleux et irresponsable » s’exclamèrent-ils, interloqués par les statistiques fournies par le Directeur des Personnels.
« L’irresponsable », qui est à l’origine de cette situation est aujourd’hui Président de la République.
Boumediène, que le Clan d’Oujda a pris en otage, au point de lui faire porter un nom et un prénom bien de la région et d’épouser, tout comme M.S. BENYAHIA, plus tard et d’autres « personnalités » originaires de l’Est et du Centre du pays, des tlemcéniennes de « souche », c’est à dire d’origine marocaine, cautionnait aveuglément les abus du Clan.
Effectivement, comme tu le dis si bien, toutes les institutions de la République sont aujourd’hui massivement investies et sous le contrôle direct ou indirect de personnes acquises ou dévouées corps et âmes au Clan d’Oujda.
N’est-ce pas Honoré de Balzac qui a écrit : »Plus sa vie est infâme, plus l’homme y
tient, elle est une protestation, une vengeance de tous les instants »
Les hommes pieux et sages, qui connaissent la vanité de la vie et des jouissances terrestres et qui ont passé avec succés les épreuves d’ici-bas, ont hâte de rejoindre leur Dieu pour jouir des bienfaits du Paradis qu’ils ont mérité.
Ce n’est malheureusement pas du tout le cas de cette « espèce » d’assoiffés et d’affamés, à la foi chancelante et à la morale douteuse, quand ils en ont, physiquement et mentalement malades, « cupides et obstinés », qui nous gouvernent, malgré nous, depuis 1962 et qui doivent, au plus vite être chassés du pouvoir auquel ils s’agrippent pathétiquement au prix de compromis et compromissions très dangereux pour l’indépendance, l’unité, la cohésion et la stabilité du pays.
Oui, l’heure de la relève a sonné et elle aura lieu avec ou sans leur consentement.
Que les sourds-muets qui obstruent l’horizon politique, économique et social du pays le comprennent bien car pour pouvoir faire convenablement face aux défis majeurs qui
l’attendent, l’Algérie a aujourd’hui besoin d’hommes sains d’esprit et de corps, à la vision résolument tournée vers l’avenir et non pas prisonière d’un passé mal assumé.
Il ya péril en la demeure « Algérie » et notre devoir, le plus sacré, est de dénoncer les pyromanes, qui sont en train de mettre le feu à notre « Maison Commune » et qui rentreront, le moment venu, « chez eux ».
Ils l’ont déjà fait lorsque l’Algérie indépendante était confrontée aux pires difficultés de sa jeune existence, entre 1990 et 1998, notamment.
En ces moments là, notre pays n’a trouvé que ses fils et filles authentiques pour le défendre contre les hordes islamistes, aujourd’hui de retour en force à la faveur de la politique défaitiste de la « Réconcilation Nationale », unilatéralement décidée, élaborée et mise en oeuvre et qui a sérieusement démobilisé les forces combinées, qui étaient parvenues, en 1998, au prix de lourds sacrifices, à réduire le terrorisme islamiste à sa plus simple expression.
Il est vrai, que les « éradicateurs de salon », comme Ouyahia et ses amis du Randou, aujourd’hui « éradiqués » par le Clan d’Oujda, qui se sont bunkerisés au Club des Pins, en laissant le peuple algérien livré à lui même et aux égorgeurs islamistes, n’avaient pas mieux fait, même s’ils n’avaient pas déserté le pays.
Nos enfants, déjà fort traumatisés par les nombreux drames que le pays a connus, depuis 1962, à cause essentiellment de l’incompétence notoire de ses « responsables » successifs, ne nous pardonneront jamais notre énième lâcheté et notre silence coupable car aucune justification ni explication n’est acceptable lorsqu’il s’agit de l’avenir du pays, de leur avenir, eux qui constituent la majorité écrasante de la population algérienne alors que les « vampires » n’en représentent que moins de un pour mille et n’ont jamais cessé de nous diviser et de nous dresser les uns contre les autres afin de perpétuer leur règne, déjà demi-centenaire.
A coeur vaillant, rien d’impossible, dit un proverbe irlandais.
Je vous prie de bien vouloir visiter et faire visiter par vos amis et proches les blogs et sites internet suivants :
-www.nonauntroisiememandat.centerblog.net
-www.contreleclandoujda.centerblog.net
-www.cestleclandoujdaquimatuer.centerblog.net
-Le Matin d’Algérie Online
-Tout Sur l’Algérie Online
-les articles « Le Clan d’Oujda » sur Google.fr et Yahoo.fr
Merci
L’adresse de mon blog :
http://mostfaetlindachergui.centerblog.net/
Tout sur l’election presidentielle de 2009 ou 2008.
Merci
L’adresse de mon blog :
http://mostfaetlindachergui.centerblog.net/ et d’autres liens utiles :
http://contreleclandoujda.centerblog.net
http://cestleclandoujdaquimatuer.centerblog.net
http://nonauntroisiememandat.centerblog.net
Pour mettre fin aux mefaits du Clan d’Oujda et bannir a jamais son esprit destructeur.
Pour nous, le « Clan d’Oujda » represente beaucoup plus une mentalite retrograde qu’une region du pays.
Merci infiniment
Le mauvais exemplePosté le 17.01.2008 par cestleclandoujdaquimatuer
Pourquoi New York, Paris, Londres et demain d’autres capitales devraient elles ménager un pouvoir aux abois, de plus en plus coupé de son peuple qu’il « dirige » à partir de palais (El Mouradia, du Gouvernement, Zirout Youcef etc…) devenus de véritables bunkers, à cause des mesures de sécurité mises en oeuvre pour les protéger contre la colère de leurs concitoyens livrés à eux-mêmes.
Dans ces pays démocratiques, le Gouvernement risque carrément de tomber si un de leurs ressortissants venait à être assassiné à l’étranger et qu’il sera prouvé que son Gouvernement ne l’avait pas informé, en temps opportun, des dangers qu’il encourerait s’il se rendait dans tel ou tel pays, pour une raison ou une autre.
Un moment, sensibles, sans être réellement convaincus, au discours triomphaliste du clan présidentiel, qui a présenté la « Charte pour la Paix et la Réconciliation Nationale », unilatéralement élaborée dans l’urgence, comme la seule et unique possible solution à la crise multidimensionnelle algérienne, nos partenaires étrangers semblent comprendre aujourd’hui que cette politique de concessions unilatérales, de plus en plus importantes et dangereuses pour la cohésion, la stabilité et l’unité nationales, a surtout été mise à profit par les terroristes islamistes pour reconstituer leurs troupes décimées par les forces armées et de sécurité algériennes, aidées par les patriotes et la majorité du peuple algérien et pour réviser et adapter leur stratégie d’agression permanente, au terrain de l’ennemi, démobilisé par une surenchère politicienne suicidaire.
On ne peut pas décemment demander à nos partenaires étrangers de faire fi de la dramatique réalité qui prévaut encore dans notre pays et de venir insvestir dans un pays que ses propres enfants, toutes catégories sociales confondues, fuient désespérément, de toutes les manières possibles.
En tout état de cause, en se barricadant à double tour, dans leurs palais et en bloquant, pendant des heures, la circulation, lors de leurs déplacements, à Alger ou à l’intérieur du pays, les plus hauts responsbles du pays donnent le plus mauvais exemple possible à nos concitoyens et à nos partenaires étrangers, désireux de s’installer en Algérie.
En réalité, en agissant ainsi, ces « responsables » nous confirment qu’ils sont restés fidèles et égaux à eux-mêmes, dans leur égocentrisme.
Il est vraiment grand temps que nos « vénérables » dirigeants , qui fonctionnent avec une échelle de valeurs, pour le moins douteuses, qu’ils nous ont imposées depuis 1962 mais qui ne pourraient, en aucun cas être imposées à nos partenaires étrangers, malgré les énormes avantages et concessions qu’ils ne cessent de leur consentir, en contrpartie de leur « compréhension », sachent que le monde a beaucoup changé.
Au lieu donc de s’entêter ridiculement, comme ils le font actuellement avec « l’affaire » (une autre ruse) de la révision constitutionnelle pour s’accrocher encore au koursi, le meilleur service que, ces figures usées, recyclées et ré-injectées, responsables de tant d’échecs dramatiques, puissent rendre au pays, est qu’ils partent, tous et maintenant, comme l’avaient fait, dans le respect et la dignité, leurs homologues étrangers, qui avaient pourtant apporté bien-être à leur peuple et prospérité à leur pays.
Ces aveugles, sourds et muets articifiels, ces limaces « entêtées », comme dirait Rachid Boudjedra, qui n’ont produit que de la bave depuis 1962, doivent comprendre, une fois pour toutes, que cette fois-ci, sous aucun prétexte, ils ne nous imposeront leur logique tordue.
Qu’ils aillent là où ils voudont, chez eux, chez les autres, le peuple algérien magnanime saurait fermer l’oeil sur leurs crimes et méfaits, si leur conscience leur permettaient d’avoir la paix de l’âme, qui leur manque le plus.
Un pays, dont plus de 70% de la population est âgée de moins de 30ans, doit être gouverné par des hommes jeunes, sains d’esprit et de corps et qui ont une moralité sans taches.
Amine Benrabah
« La Révolution Blanche »
Posté le 22.01.2008 par cestleclandoujdaquimatuer
Les Ambassades et Compagnies étrangères en Algérie se bunkerisent non pas parce qu’elles craingnent un regain quelconque d’attentats terroristes contre lesquels, celles qui n’ont pas quitté l’Algérie se sont bien préparées depuis 1990 mais parce que les Diplomates en poste à Alger sont, de plus en plus, convaincus que le pouvoir algérien, en pleine crise paranoïaque, à l’image de son Président, n’hésitera pas de réprimer férocement, comme il l’a fait depuis 1962, ce qui est aujourd’hui communément appelé, dans les milieux diplomatiques algérois, « la Révolution Blanche » et dont les signes avant-coureurs se manifestent fortement, à travers tout le pays.
En voici les principaux ingrédients :
1° Le « terrorisme résiduel », version clan présidentiel, qui frappe là où il veut et quand il veut et qui a été considérablement renforcé par les concessions unilatérales du pouvoir et les mesures de grâce présidentielles massives accordées aux terroristes, sans déclaration de repentance préalable. Pour des raisons démagogiques, la repentance est demandée à la France.
Lorsque nos démagogues professionnels cesseront de la revendiquer, à des fins bassement politiciennes, la demande de pardon sera certainement présentée, un jour ou l’autre, par le Gouvernement français, au peuple algérien, comme il l’a fait avec d’autres peuples anciennement colonisés.
La surenchère malsaine dessert souvent la cause qu’elle prétend défendre.
2° Face à l’immobilisme, à la stérilité et au manque d’imagination dramatique du Gouvernement, castré par le Président Bouteflika, la société algérienne, dans toute sa diversité, est en ébulition : les grèves, largement suivies, se multiplient dans tous les secteurs et donnent lieu à des manifestations pacifiques, souvent violemment réprimées.
3° Malgré les déclarations farfelues de Temmar, Djoudi, Bendjaber et d’autres « experts » de pacotille et, à l’exception des secteurs des hydrocarbures, des mines et des télécommunications, où les investissements sont hautement rentables immédiatement, les investissements directs étrangers ( les fameux IDE ) restent encore faibles, dans tous les secteurs et les promesses démagogiques d’investissements faramineux émanant des « frères » arabes et de quelques partenaires d’Extrême Orient et d’Occident, ne sont pour le moment que des intentions répétées, à maintes reprises.
4° Les tares et lacunes suivantes :
- Recrudescence du banditisme et de la criminalité sous toutes leurs formes,
- Corruption généralisée,
- Multiplication des scandales financiers : détournements des deniers d’organismes et institutions publics commes les banques, les entreprises, les wilayas, dairas et communes,
- Injustice sociale,
- Impunité des « intouchables » du régime, confirmée lors du « procés » Khalifa,
- Népotisme et régionalisme exacerbés,
- Indigence culturelle, industrielle et technologique du pays et le chômage endémique, qui en découle.
Tandis que nos voisins, de l’Est et de l’Ouest notamment, renforcent leur tissu industriel productif et créent des emplois par centaines de milliers, Temmar ( encore lui ) est réduit, je le cite, à « lancer une réflexion pour la définition d’un avant-projet de stratégie industrielle », pour développer une industrie, qui a été démantelée en catimini, par une privatisation sauvage des Entreprises Publiques Economiques.
5° Précarité médicale et sociale de la majorité de la population algérienne, en dépit de l’aisance financière que l’Etat enregistre actuellement, en raison de concessions très avantageuses octroyées aux compagnies étrangères et l’exploitation intensive des ressources minérales, non renouvelables, du pays.
6° Ecole sinistrée, qui produit des chômeurs par dizaines de milliers et enregistre l’un des taux de déperdition les plus élevés au monde : sur 100 élèves inscrits en première année élémentaire ( 6ième ), seuls 4 arrivent à la Terminale et parmi ces 4, un seul aura son bac et pourra aller à l’Université, non moins sinistrée.
7° Analphabétisme de près de la moitié de la population algérienne,
Ces tares et lacunes et d’autres fléaux sociaux, aussi graves, ( drogue, prostitution, émigration clandestine, fausse monnaie, pillage du patrimoine et déstruction des sites historiques etc…), qui minent sérieusement la société algérienne aujourd’hui et ne militent aucunement en faveur d’un troisième mandat, bien au contraire, sont quotidiennement subis et dénoncés par le peuple algérien révolté par l’indifférence et le train de vie insultant de la nomenklatura, qui ose créer un »fonds pour les générations futures », qui pourrait connaitre le même sort que celui du tristement célébre « fonds de solidarité », mis en place par le Président Ben Bella, aux lendemains de l’Indépendance, en 1962, alors que les besoins élémentaires de la grande majorité de leurs contemporains restent encore à couvrir.
Messieurs du pouvoir ! « la Révolution Blanche », qui s’annonce est fonciérement pacifique, constructive et salutaire pour le pays ruiné par la cupidité et l’incompétence de la majorité de vos collègues.
N’essayez pas de la contrarier ni de la récupérer, ce sera peine perdue.
En comprenant plutôt la nécessité impérieuse du changement, maintenant, vous pourrez faire éviter à la nation algérienne une épreuve sanglante supplémentaire.
Amine Benrabah
*Cette expression est empruntée à un Diplomate américain en poste à Alger.
LE PROBLEME EST QUE TOUT LE MONDE S’ACCORDE A DIRE:ARMONS-NOUS ET PARTEZ.PALER , PARLER …LE CHIEN ABOIE LA CARAVANNE PASSE ET LE CLAN D’OUJDA SE PRELASSE QUOIQU’ON DISE QUOIQQU’ON FASSE.
NON ! vous dites quoiqu’on fasse , c’est faux !
si le peuple se léve ,tel un seul homme , alors soyez sur d’une chose : le renversement de toute cette … !
ar tufath !
Le paradoxe algérien
Posté le 04.02.2008 par Amine Benrabah
Le phénomène ambivalent d’attraction-répulsion que l’Algérie suscite chez nos partenaires étrangers s’explique par une série de facteurs à la fois positifs et négatifs que la réalité algérienne présente aujourd’hui.
I-Facteurs positifs :
Ils sont essentiellment dus à la géographie
- La proximité géographique du pays, de l’Europe ( Ghazaouet est, à peine, à 180 kms d’Almeria, Espagne ) rend les coûts de transport des importations et des exportations très compétitifs.
- Le Sahara algérien constitue une source d’énergie multiforme ( pétrole, gaz et solaire ) et inépuisable et les ressources financières considérables qu’elle permet de générer pour le pays.
- L’immensité du territoire ( le 2ième en Afrique et le 11ième au monde), qui nécessite un aménagement ouvrant des perspectives de contrats bilatéraux et multilatéraux faramineux, dans le domaine des BTP.
- Un potentiel touristique énorme, dû à la diversité géographique et historique du pays. Il est de plus en plus prouvé, par les anthtropologues, que, dans sa configuration actuelle, l’Algérie constitue un des berceaux de l’humanité.
- Une populaton majoritairement jeune, dont les besoins restent encore à couvrir dans tous les domaines et constitue malgré ses qualifications insuffisantes une main d’oeuvre à bon marché.
II-Facteurs négatifs :
Ils sont essentiellement dus à l’homme
- Incompétence et médiocrité de la classe dirigeante, qui impose à la nation ses « qualités ».
- Bureaucratie et son corollaire la corruption, généralisées, qui minent et terrorisent la société.
- Terrorisme islamiste « résiduel », qui frappe où il veut et quand il veut.
- Paupérisation de la majorité de la population algérienne, dont plus de la moitié est analphabète ou éduquée selon des normes archaïques.
Malgrés ces facteurs négatifs et d’autres, non moins graves, dus essentiellemnt à l’incompétence de ses responsables successifs, l’Algérie sera, dans quelques années et certainement pour les décennies à venir, grâce à son formidable potentiel géo-physique, une des destinations majeures du capital mondial.
Par ailleurs, lorsque les hommes compétents et intégres seront majoritaires aux commandes du pays, son rythme de développement, actuellement sérieusement obéré et handicapé par la corruption et le gaspillage érigés en mode de gestion, sera certainement accéléré et considérablement renforcé, dans l’intérêt de tous les Algériens, dont la majorité est actuellement marginalisée par leurs gouvernants auto-proclamés.
L’attraction-répulsion actuelle cédera alors la place à un réel intérêt, chez les investisseurs nationaux et étrangers, qui connaissent bien l’importance stratégique de notre pays et l’incompétence de la majorité de ses dirigeants.
C’est là tout le paradoxe de l’Algérie.
Amine Benrabah
Solidarité avec Monsieur RAHABI
Par Amine Benrabah
J’ai personnellement eu l’honneur et le privilège de côtoyer , durant de longues années, M. Rahabi, au Ministère des Affaires Etrangères où il avait « débarqué », en 1978, frais émoulu des bancs de l’ENA.
Sa compétence et sa probité intellectuelle et morale sont notoirement connues et appréciées par ses collègues ainsi que par ses supérieurs hiérarchiques. Elles lui ont valu une belle carrière, hélas écourtée par la perfidie et la jalousie du clan d’Oujda, dont il a osé, en digne fils de chahid, affronter les intérêts voraces.
Comme sont maintenant publiquement connues la duplicité et l’immoralité des personnes qu’il cite ou vise dans l’article qu’il vient de publier dans la quotidien national « Le Soir d’Algérie », dans lequel il défend intélligemment la Constitution de 1996 et que je touve équilibré et objectif car Si Abdelaziz fait parler les faits rien que les faits et ces derniers sont têtus.
Il a bien fait de partager avec nous les informations qu’il a eu la chance d’avoir de première main et de démasquer les imposteurs et les comploteurs comme les Abdelaziz, Belkhadem et Ziari, qui versent dans le mensonge le plus abject en affirmant avec le culot et l’arrogance qui sont les leurs que « Les réformes contenues dans la Constitution de 1996 étaient imposées à l’Algérie par l’étranger ».
Calomnie et mensonge que tout cela !
C’est leur petit maître, « maîtrelet », dirait La Fontaine, qui a fait toutes les concessions aux pays occidentaux pour pouvoir neutraliser l’ANP qui le gêne dans ses projets hégémoniques et dictatoriaux.
La loi scélérate sur les hydocarbures, votée et promulguée en catimini et justement annulée grâce aux fortes pressions de la Direction de l’ANP et non pas à celles de Zerhouni, comme a voulu le faire croire une « information » disséminée par certains milieux proches du clan d’Oujda, n’est pas la seule concession et capitulation devant le « lobby pétrolier ».
S’il n’est pas neutralisé en raison de sa sénilité avancée, ce fou va brader de manière irreversible l’avenir du pays.
Encore une fois, n’en déplaise à vos détracteurs, Merci M. Rahabi pour vos mises au point lumineuses.
Haute considération.
Un ancien collègue et aîné, victime du clan d’Oujda.
Amine Benrabah
Les « lièvres » et le « canasson »
Par Mostfa et Linda Chergui
Le « lièvre », que nous attendions depuis des mois déjà, vient d’être sorti du vieux chapeau d’un pouvoir vieillissant, visiblement en panne d’imagination.
Il s’appelle Saïd SADI et est chargé de mener la « course » qui aboutira en 2009 à l’intronisation, pour la troisième fois consécutive, du « canasson » imposé au peuple algérien, en Avril 1999, par le Général Khaled Nezzar et consorts.
Hanoune, Touati et une ou deux autres « mommies » seront certainement là pour compléter le tableau et rendre crédible la ré-élection d’un candidat usé physiquement et moralement par deux mandats riches en catastrophes naturelles et humaines, handicapé, entre autres, par sa très fragile santé ( son regard hagard rappelle, de plus en plus, celui de François Mittérand à quelques mois de sa mort annoncée ) et qui bloque toute évolution sérieuse des processus politique, économique et social du pays et sa sortie de la crise multidimensionnelle qui le mine depuis 1988.
Nos partenaires occidentaux viennent, enfin, de comprendre cela et les déclarations de l’Ambassadeur anglais au quotidien national « Liberté », du 8 Février 2008, s’inscrivent clairement dans cette perspective : les maîtres communs des « lièvres et du canasson » doivent laisser le pays évoluer dans le sens voulu par l’écrasante majorité des Algériens et non pas lui imposer une direction visant à préserver leurs intérêts et biens mal acquis.
En un mot, ce sont le « canasson et ses lièvres », qui ont déjà servi à d’autres civets, qui constituent « le problème » de l’Algérie, aujourd’hui et non pas la Constitution de 1996, qui permet l’alternance démocratique au pouvoir, dont le « canasson » a lui-même bénéficié en 1999.
C’est, selon M. HENDERSON « la seule manière de rendre l’espoir au peuple algérien », dont les aspiration légitimes à la paix et à la prospérité ont été détournées et étouffées par une bureaucratie sauvage, qui a généré l’une des corruptions les plus féroces au monde ( voir le rapport 2007 de Transparency International, sur l’Algérie ).
Bourde commise par un Ambassadeur, qui a dû beaucoup pâtir de ces fléaux ou message fort de l’Union Européenne à un partenaire encombrant, qui ne respecte pas les engagements pris dans le cadre de l’Accord d’Association ? Wait and see.
Ces « vautours » doivent avoir honte d’avoir transformé en Enfer, un pays voué à un avenir brillant.
Au lieu de partir, la tête en berne, ils osent encore comploter pour amender la Constitution de 1996 et s’éterniser au pouvoir.
Quel culot !
Avec quoi ils se lavent la figure chaque matin ?
Mostfa et Linda Chergui
Notre blog :
http://mostfaetlindachergui.centerblog.net
Merci de le visiter et de le faire passer
La revanche de Kaid Ahmed :
Doucement mais surement, Tiaret est en train de devenir, apres Tlemcen evidemment, le deuxieme pilier du Clan d’Oujda, qui sait bien recompenser ses allies fideles et chatier, sans pitie, ses adversaires, dont la Kabylie » fiere et rebelle » est le principal.
Ainsi, grace a Belkhadem et Hadjar notamment, Kaid Ahmed a eu une belle revanche sur Belaid Abdessalem.
Ceux qui connaissent bien Bouteflika savent que c’est un « teigneux », qui ne pardonnera jamais aux Kabyles de l’avoir defie et d’avoir blesse son ego surdimenssionne.
En effet, contrairement aux Chaouis, qui ont chaleureusement accueilli Bouteflika durant la campagne electorale de 2004, contre un de leurs fils, en l’occurrence Benflis, trahi par les siens, qui ont ete traites par Bouteflika de cheyattine, les « Gueubyles », comme il les appelle avec ses intimes, lui avaient interdit l’acces a leurs villes et avaient failli le lyncher quand il s’etait rendu a Tizi Ouzou, en 2004, sous l’escorte de milliers de policiers et de militaires et l’avaient lapide a Boumerdes.
Si Ait Ahmed, Sadi, Ouyahia et Abrika arrivent , avec l’aide de leurs differents soutiens bien sur, a faire avorter le projet de revision de la Constitution de 1996, l’alternance au pouvoir qu’elle garantit et, qui a profite a Bouteflika en 1999, jouera surement en faveur de l’un d’entre eux.
Ce n’est que justice pour une region qui a paye le prix le plus cher pour la liberation du pays.
Kabyles de tout le pays unissez-vous !
Par Mostfa et Linda Chergui
a mr chergui , croyer vous au pére noel ?
vous croyer que c’est ait hamed , saadi et consort , qui vont faire bouger les choses ?
il n’y a qu’une et une seul façon que ça change et je vous laisse le deviner .
ar tufath !
Le mandat de la division
Par Ahmed Bensalah
Quel que soit l’angle d’approche que l’on choisit pour aborder la question de la révision constitutionnelle, on aboutit à une conclusion imparable : rien d’objectif ne la justifie aujourd’hui.
En effet, les amendements de fond apportés, en Novembre 1996, à la Constitution de 1989 ont permis de prendre en charge des aspects que cette Constitution, adoptée dans la précipitation, aprés les évènements du 5 Octobre 1988, avait omis, à savoir :
- Officialisation de la langue amazigh
- Limitation des mandats présidentiels à deux
- Garantie de l’alternance au pouvoir
- Création du Conseil de la Nation pour contre-balancer le pouvoir de l’APN
Les constitutionalistes nationaux et étrangers avaient applaudi à ces avancées démocratiques considérables, imposées par le peuple algérien et qui placent notre pays au diapason des nations qui ont bâti des institutions démocratiques pérennes.
Aujourd’hui, pour satisfaire les lubies d’un Apprenti-Dictateur anachronique, que le pouvoir rend de plus en plus fou, et pour s’assurer par la même une présence durable à la périphérie du Pouvoir, un certain nombre de « politiciens » et « intellectuels » de service n’hésitent pas à appeler au viol de la Constitution algérienne.
Si le projet néfaste de ces aventuriers passe, notre pays enregistrera un recul catastrophique dans le merveilleux élan démocratique qui lui a été insufflé par les Constitutions de 1989 et de 1996 et sa crédibilité internationale, déjà ternie par la corruption généralisée qui y règne actuellement, en pâtira considérablement.
Les nombreux hommes sages et influents que compte encore notre pays doivent persuader cette poignée d’opportunistes, essentiellement mus par des intérêts étriqués d’ordre individuel, régionaliste ou partisan, de respecter les choix effectués par la majorité du peuple algérien en 1989 et 1996.
Pour justifier la forfaiture annoncée, leurs « laboratoires » sont en train de concocter un référendum dont le pourcentage des « Oui » sera supérieur à celui du référendum de Novembre 1996. Un référendum chasse l’autre, en quelque sorte.
Leur jusqu’auboutisme ne ménera le pays qu’à un regain de violence et à la division et le peuple algérien, qui porte encore, dans son âme et son corps, les séquelles de la décennie rouge, n’en a vraiment pas besoin.
Ahmed Bensalah
La bonne relève
Par Mostfa et Linda Chergui
Si les forces vives de la nation, tous secteurs confondus, ne prendront pas la responsabilité historique de provoquer le sursaut salutaire dont notre pays a absolument besoin aujourd’hui pour sortir de l’état d’apoplexie dans lequel l’ont plongé depuis quelques années, les gérontocrates qui le gouvernent, demain il sera vraiment trop tard.
En politicien chevronné, Abdelhamid Mehri a bien senti la gravité de la situation et lance un cri d’alarme pathétique pour que la bonne relève soit assurée, au plus tôt car il s’agit de l’avenir de notre pays et de celui de nos enfants.
La génération de Bouteflika, des années 1920-1940 est « hors époque » et ses « recettes » de gouvernement et de gestion des affaires de l’Etat sont archaiques et obsolètes.
Ils doivent comprendre cela et s’éclipser au plus vite s’ils ne veulent pas être voués aux géméonies par leurs petits enfants.
On ne parle pas des enfants, qui ont été purement et simplement sacrifiés sur l’autel des différentes expériences et réformes menées, en vain, depuis 1962.
Le problème du pays aujourd’hui, comme l’ont si bien souligné les Ambassadeurs américain et anglais en Algérie, est donc beaucoup plus celui de la bonne relève, à trouver d’urgence, que celui du troisième mandat pour un Président de plus en plus fatigué, qui gouverne par l’inaction et l’immobilisme, allongé sur un matelas de devises accumulées alors que les besoins élémentaires de la majorité des Algériens ne sont pas encore satisfaits.
Le fameux bas de laine de la bonne vieille grand-mère, en quelque sorte, qui sera, au bout du conte, dévoré par les « mites », en même temps que son contenu.
Laissez nous tranquilles s’il vous plaît !
Nous saurons bien nous débrouiller sans vous et l’Algérie, votre butin de guerre, ne se portera que mieux.
Mostfa et Linda Chergui
Quelques blogs à visiter :
http://contreleclandoujda.centerblog.net
http://cestleclandoujdaquimatuer.centerblog.net
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http://ombresetlumieresalgeriennes.centerblog.net
http://algeriepolitiqueetsociale.centerblog.net
Merci
» ♣ Terrorisme d’état – Clan d’Oujda »-vous n’aite pa + qe de la rakai ecrir ainsi ds gran homme ahh srry j oublie qe vous n’aite pa + qe ds berber oops srry du kon
Les « conseils » de leurs Excellences :
La Présidence de la République semble avoir décidé de suivre les « conseils fraternels » prodigués par leurs Excellences, les Ambassadeurs américain et anglais en Algérie, qui ont publiquement reproché au Derviche tourneur, alias Belkhadem, sa précipitation interessée à emprisonner la vie politique et sociale du pays dans une logique électoraliste et la perspective, encore lointaine, de l’élection présidentielle de 2009.
Selon ces deux distingués Diplomates,l’Algérie serait ainsi livrée à elle même et pourrait connaitre toutes sortes de dérives qui mettraient en danger sa stabilité politique et sociale et partant, les gros intérêts des multinationales américaines et britanniques opérant dans le domaine stratégique des hydrocarbures.
Ces « conseils fraternels » ont été bien entendus par Belkhadem et Sidou.
Merci Excellences de nous épargner la corvée quotidienne des séances d’allégeance à Fakhamatouhou, dignes des monarchies les plus archaïques !
Interview de Bouteflika à Reuters : la douche froide de Belkhadem
Belkhadem et la clique de Tlemcen qui veulent forcer la main de Bouteflika pour se présenter à un troisième mandat ont dû recevoir la douche froide de leur vie en lisant cette interview.
Bouteflika, qui, malgré ses déclarations à l’Agence de presse anglaise Reuters, connait bien son état de santé réel, ne demande qu’à terminer son mandat actuel.
Dernière ruse d’un vieux roublard de la politique ou vérité, nous pencherions plustôt pour la seconde hypothèse car les deux mandats précédents l’ont physiquement et mentalement lessivé.
La seule chose qu’il demande à ceux qui l’ont imposé en 1999 et 2004 est de ne pas le livrer en pâture et salir sa mémoire, après son départ en 2009, à cause des nombreuses erreurs commises dans l’exercice de ses fonctions.
C’est précisement sur la peur que Belkhadem joue pour lui forcer la main et le convaincre de postuler pour un troisème mandat pourtant très mauvais pour sa santé fragile et la crédibilité du pays.
Le mauvais génie va passer des nuits blanches en lisant cette interview et instruire ses sbires des zouis et du FLN pour l’interpréter dans le sens souhaité par lui, qui perçoit depuis deux ans le salaire de Chef de Gouvernement sans en accomplir les missions.
Chacun son tour :
Nos « frères » tunisiens et marocains ont grassement vécu et profité de la crise algérienne et de l’embargo contre la Libye.
Ils ont utilisé nos deux pays comme épouvantails pour attirer les moineaux ( touristes ) en grand nombre chez eux mais qui dit tourisme dit drogue, prostitution et autres influences néfastes, dont la « démocratie » cette ennemie jurée des dictatures et des monarchies obscurantistes.
Les pays occidentaux, qui fournissent le plus grand nombre de touristes se rendant en Tunisie et au Maroc, savent que ces deux pays, qui subissent des dictatures féodales insupportables pour leurs peuples asservis, ne sont pas à l’abri d’une explosion sociale dramatique.
Comme l’a dit, un jour l’inénarrable Belaid Abdessalem « La poudière est chauffée à blanc, il suffit d’une étincelle pour tout faire sauter en l’air. »
Il n’est pas comme Zerhouni, Da Belaid, il ne dit pas que des c…
C’est pour cela que les touristes occidentaux s’intéressent de plus en plus aux destinations Algérie et Libye, qui ont leur « crise » derrière elles et qui offrent un potentiel touristique moins « classique ».
N’oublions pas que l’islamisme est venu au Maghreb à travers la Tunisie où il a encore des racines profondes.
Les Ghannouchi et consorts en savent quelque chose.
Au Maroc, Cheikh Yacine et sa fille sont les maitres des islamistes, qui dominent la societé marocaine conservatrice, féodale et majoritairement analphabète.
Les agitations des autorités tunisiennes concernant les deux touristes autrichiens enlevés en Tunisie, il y a quelques jours, ne trompent donc personne et constituent une crasse supplémentaire du gouvernement tunisien en direction de son homologue algérien trop occupé par sa campagne pour un fantomatique troisième mandat.
Le Chat et la souris :
Comme l’a si bien dit un journaliste du Quotidien d’Oran, Kamel Daoud, dans sa chronique quotidienne « raina raikoum » , Bouteflika est en train de se venger de l’histoire, de l’Algérie et des Algériens.
En effet, outre son népotisme et son régionalisme, qui frisent le racisme, Bouteflika est connu pour être un mégalomane, un grand caracteriel et un rancunier teigneux, c’est, en quelque sorte, le « chaoui » du clan d’Oujda.
Benchicou décrit bien ses traits de caractère dans son best seller « Bouteflika une imposture algérienne » et ceux qui l’ont imposé au peuple en 1999 et en 2004, le connaisent également bien et ne lui ont jamais fait confiance.
Ils le tiennent en laisse et lui ont transmis des messages forts quand il a voulu montrer des velléites d’autonomie dans le seul but de les livrer en pâture au peuple et au TPI.
A plusieurs reprises son « départ » aurait été décidé puis remis pour cause de raison d’Etat. Il le sait bien.
C’est pour cela qu’il était allé le 4 Juillet 2007 au MDN quémander l’accord de ses sponsors pour un troisième mandat qui le rend si fou et leur faire allégeance pour mieux les tromper plus tard.
Ce jeu du chat et de la souris commence a fatiguer le gros matou, qui comme la souris veillit mal et voudrait en finir avec ce jeu malsain et dangereux.
Aujourd’hui, « Felix » a réuni toutes les preuves nécessaires que la souris compte sur la prochaine révision constitutionnelle qui la rendra éligible ad vitam eternae pour régler son compte au gros minet, qui ne le laisse manger son morceau de « gruyère » en paix.
C’est le pays qui va, une fois encore, payer les frais de ce jeu canino-félin.
La caravane passe :
Le « Lièvre » officiel a commencé sa course de crédibilisation de l’élection présidentielle de 2009.
Ses maîtres, qui sont également ceux de Bouteflika et qui ont une peur bleue d’un boycott par la grande majorité des Algériens de la mascarade annoncée, lui ont donné le feu vert pour faire flèche de tout bois et paraitre plus vrai que nature.
Il doit faire mieux que Benflis, le lièvre de 2004, d’où la « trouvaille » de la surveillance internationale alors que le problème est celui de la candidature même de Bouteflika, qui entraînera fatalement un viol de la Constitution, sous forme de révision, qui passera, par voie parlementaire ou référendaire, comme une lettre à la poste car il en a été décidé ainsi.
La symphonie, dans toutes ses variations, a commencé et ira crescendo au fur et à mesure que l’on se rapproche du rendez-vous de 2009.
Les chiens aboient, la caravane Bouteflika mené par le chamelier Belkhadem passe et leur donne rendez en 2014, si Dieu prêtera vie au Raïs, pour un autre passage aussi furtif.
D’ici là, les maîtres communs auront trouvé un autre « Sadi » pour crédibiliser l’élection présidentielle de 2014. Mais n’ayant peut être plus un grand choix, ils se rabattront sur les Ouyahia, Hanoune, Menasra ou Touati.
On a les lièvres qu’on peut.
Mostfa et Linda Chergui
Vrais alliés et faux partenaires :
Parmi les rares succés enregistrés par la Diplomatie algérienne depuis l’installation de Bouteflika à la tête de l’Etat en 1999 figure incontestablement le renforcement de la coopération avec la Chine et la Russie, dans tous les domaines.
Les Algériens n’ont pas oublié que les pays occidentaux voisins et lointains les avaient mis sous embargo et laissés seuls face à un terrorisme barbare dont les cerveaux et les exécutants étaient hébergés chez eux et armés par eux et ce dans le seul but de se venger de l’Algérie, qui les dérrangeait considérablement, dans les années 1970, à cause de ses initiatives visant à une plus grande émancipation des pays du Tiers Monde, dont elle était l’un des leaders.
Londres, Bruxelles, Paris, Madrid, Berlin, Rome, La Haye et Genève s’étaient érigées en sanctuaires pour les terroristes islamistes considerés par ces capitales et Washington comme des alliés objectifs contre le communisme et les quelques régimes progressistes arabes et musulmans.
Septembre 2001, Mars 2004 et Juillet 2005 ont certainement contribué à déciller les yeux des Occidentaux qui ont été durement frappés par Al Qaeda, respectivement à New York et Washington, Madrid et Londres..
Il ne faut jamais faire confiance à ces caméléons guidés par leurs intérêts et la haine séculaire qu’ils vouent à nos peuples et pays.
Le tapage médiatique créé récemment autour des avions de chasse que notre pays aurait fait retourner à la Russie pour défauts techniques a pour seul objectif de jeter le discrédit sur la coopération de l’Algérie avec une Russie, de plus en plus maitresse de ses ressources naturelles et dont le retour en force sur la scène internationale fait peur à l’Union Européenne et aux Etats Unis d’Amérique, qui se croient déjà les maîtres du monde après-Guerre froide.
L’idée dune OPEP du Gaz, sérieusement envisagée par la Russie et l’Algérie notamment dérange beaucoup les pays occidentaux, qui sont de gros consommateurs de cette énergie propre, de plus en plus utilisée par les différentes industries.
Ce battage médiatique nous rappelle celui qui a éteé orchestré par les médias britanniques au sujet de la petite et inoffensive centrale nucléaire de 5MGW que les Chinois ont construite à Ain Oussera, dans les années 1980 et dont le fonctionnement a été volontairement soumis par notre pays au controle de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique, AIEA.
Les pays occidentaux ne sont heureusement pas seuls sur la scène internationale et doivent tenir compte des intérêts stratégiques de la Chine et la Russie qui sont des alliés traditionnels de notre pays.
Quant au fameux partenariat pour une prospérité partagée que les pays occidentaux nous font miroiter, il reste, pour l’instant, un mirage, aggravé par nos déserts intellectuels.
5ième Anniversaire de l’invasion de l’Irak
De Grenade à Baghdad : les croisades continuent
La chute de Baghdad en 2003 restera dans l’Histoire universelle comme celle de Grenade en 1492, c’est à dire une défaite humiliante du monde arabo-musulman aux conséquences très graves et encore incalculabes, qui plongera ces pays dans une nouvelle ére de décadence durable.
Ainsi les Croisés auront parachevé l’oeuvre de reconquista commencée par les Rois Catholiques, il y a plus de cinq siècles.
Ce n’est pas par hasard si les envahisseurs américains et anglais ont commencé par vider les musées et les bibliothèques irakiens de leurs trésors inestimables. Tamerlan avait procédé de la même manière lors de l’invasion de Baghdad par les Mongols, en 1258.
Comme l’avait promis James Baker à Tarek Aziz, la patrie des fiers Abbassides est revenue à la Préhistoire et les fabuleux Jardins de Babylone ne fleuriront plus avant longtemps car plusieurs Iraks vont naitre des cendres de l’Irak de Saddam, trahi par les siens et vaincu par les Yankees, dont les peuples d’Amérique Latine et ceux des pays arabes du Golfe connaissent bien la voracité et la sauvagerie.
Après donc la Palestine, l’Irak, le Liban et demain la Syrie ( pour les pays arabes ), viendra le tour de l’Iran ( pour les pays musulmans non arabes ). L’Afghanistan n’a été qu’un avant-goût amer.
Malheureusement, au lieu de tirer les conclusions qui s’imposent des défaites qu’ils accumulent et laisser leurs peuples élire démocratiquement les gouvernants qu’ils souhaitent, les autocrates arabes et musulmans s’obstinent à priver leurs peuples de leurs droits politiques et civiques , à les diviser et à les maltraiter dans le seul but de demeurer au pouvoir pour en abuser et piller leurs pays.
Hélas, à quelques exceptions près, les pays arabes et musulmans. malgré leur potentiel humain et leurs ressources naturelles stratégiques considérables, continuent à offrir, au reste du monde, un triste spectacle, en matière de droits de l’homme, de bonne gouvernance politique et économique et de démocratie.
Ils prêtent ainsi le flanc à toutes les critiques et font eux-meme le lit de toutes les ingerences et convoitises de leurs ennemis.
Maroc-Algerie : Tel est pris, qui croyait prendre :
Encouragé dans sa fuite en avant suicidaire par l’Espagne et la France, qu’un retour en force de notre pays sur le scène internationale couplé avec d’excellentes relations avec les Etats Unis d’Amérique, la Russie et la Chine notamment,inquiète sérieusement, le Maroc de M6 cherche visiblement la confrontation avec notre pays pour sortir de l’impasse ou l’a conduit son occupation sanglante du Sahara Occidental, quasi-unanimement condamnée par la communauté internationale, à travers l’ONU.
Fidèle à sa propagande, la diplomatie marocaine, trés faible depuis l’avénement de Mohamed VI à la tête de la monarchie alaouite ( l’affaire de l’ilot Leila, Perjil, et l’humiliation qui s’ensuivit, est un exemple parmi d’autres de cette décadence diplomatique ) ne pouvait que recourir au chantage et à la menace contre notre pays en le sommant de rouvrir les frontières terrestres entre les deux pays, fermées rappelons le à la suite des accusations irresponsables lancées contre notre pays après l’attentat qui a eu lieu contre un hôtel de Marrakech, en 1994, et la décision unilatérale des autorités marocaines d’imposer le visa aux Algériens humiliés et expropriés, sans vergogne, des biens qu’ils possedent au Maroc.
C’est donc ce comportement indigne du gouvernement marocain qui a poussé les pouvoirs publics algériens à appliquer la réciprocité en imposant le visa aux ressortissants marocains et en fermant la frontière terrestre à travers laquelle florissaient tous genres de trafics dangereux pour l’économie et la societé algrériennes.
La région de Oujda, qui vivait grâce à ces trafics a été littéralement étouffée et tous les projets touristiques et industriels qui accompagnaient ces trafics ont été gelés et leurs propriètaires marocains et étrangers ruinés.
Cette région est devenue une source de destabilisation pour le pouvoir central de Rabat qui n’avait pas mesuré les conséquences de sa décision unilatérale catastrophique, de 1994.
Il est vrai que Hassan II était absolument convaincu, a l’époque, que son voisin de l’Est, qui subissait une « expérience de régression féconde », allait s’écrouler voire même éclater.
Grâce à Dieu et aux Patriotes, aujourd’hui hélas malmenés par les islamistes en costumes, notre pays a resisté aux coups de boutoir du terrorisme islamiste et ses alliés en Algérie et à l’étranger et entamé une renaissance qui inquiète les prophètes du malheur.
Les signes avant-coureurs d’une prochaine explosion sociale sont aujourd’hui plutôt de plus en plus visibles du côté du Maroc que la chaudière islamiste menace sérieusement.
Tel est pris, qui croyait prendre, disait sagement La Fontaine.
Sadi-Benchicou : Je t’aime, moi non plus :
En raison de sa virulence extrême , vraiment disproportionnée par rapport au « crime de lèse-majesté » commis par M.Benchicou, la réponse de la Direction du RCD à l’article de Benchicou, publié dans le Matin Online, montre clairement qu’elle n’a absolument rien à voir avec une Direction responsable d’un parti politique digne de ce nom mais s’assimile, de plus en plus, à une Junte de type maffieux qu’est devenu le RCD du Zaim Said Sadi, qui a écarté la quasi-totalité des membres fondateurs de ce « parti », créé en 1989, dans des conditions pour le moins louches.
Benchicou anti-kabyle ?
La couleuvre est trop grosse pour nous la faire avaler.
Merci M. Athmani de nous rappeler au moins une des positions de Mohamed concernant la question kabyle. Le Matin regorge d’autres exemples.
Enfin, pourquoi cette obsession contre Hamrouche et Hamidechi ?
Ses maîtres, qui sont également ceux de Bouteflika ont-ils ordonné à Sadi de casser du Hamrouche, qui constitue une alternative crédible à leur canasson actuel ? En lisant la réponse du RCD, cela ne fait aucun doute.
SVP, parlez en votre nom M. Sadi car les Kabyles vous connaissent bien maintenant.
En bon démocrate je n’ai pas voulu vous dire : taisez vous hypocrites !
L’argent de la « Vieille » :
La « Vieille » a aujourd’hui deux obsessions :
1-Compter au jour le jour les sous provenant du bradage des bijoux de la famille et en faire étalage publiquement pour rendre jalouses ses voisines ou se rassurer pour de plus vieux jours ;
2-Faire élaborer de « nouvelles stratégies » et organiser des « assises » nationales et internationales, SVP ( Indusrie, Emploi, Transport, Ressources en Eau, Agriculture, Energie, Tourisme, Habitat etc…) que ses arrières-petits-enfants vont réaliser dans 50 ans, peut être.
En attendant, les Algériens, ses contemporains, souffrent considérablement de tous les maux et fléaux et cette manne est en train de fondre comme glace au soleil du désert d’imagination qui occupe l’esprit des dirigeants du pays préoccupes par leurs survie politique.
La survie économique est garantie pour cinq générations, au moins.
Comptez, comptez grands-péres, vous nous faites rêver. Merci !
Mostfa et Linda Chergui
Y a-t-il un Centre dans ce pays ?
Depuis 1962, l’Algérie a été alternativement gouvernée par ses extrêmes Ouest et Est, qui représentent moins de 1% de son potentiel démographique, géographique et économique.
OUJDA- BTS-MONT, qui ne connaît pas la rengaine.
Si les BTS avaient fait l’effort d’élargir la base sociale de leur pouvoir en y incluant de nombreux cadres compétents originaires d’autres régions de notre pays, il n’en est malheureusement pas le cas pour le clan dit de Maghnia-Oujda-Nédroma-Tlemcen, qui réduit aujourd’hui la Grande et Immense Algérie a ce MONTicule composé de la famille Bouteflika et ses zélés serviteurs comme…….Vous les connaissez tous.
Le « Centre » du pays, qui va d’Oran a Annaba, a été royalement ignoré et méprisé.
De catastrophes en drames et de drames en tragédies, ces « extrémistes » ont mis le pays, que ses forces vives fuient aujourd’hui comme la peste, au bord de la division irréparable et menacent par leur dérive régionaliste très grave l’unité et la cohésion nationales.
Ce Centre, dont la Kabylie, qui célèbre aujourd’hui, dans un splendide isolement, une indifférence nationale dramatique et une hostilité officielle inquiétante, ses printemps macules du sang des innocents, a toujours ete le cœur battant ( les différentes puissances coloniales que l’Algérie a connues tout au long de son histoire millénaire, en connaissent quelque chose ) doit être rétabli dans ses droits.
La contribution de ses enfants a la libération du pays du joug colonial français et a son processus de démocratisation les autorisent autant, sinon bien plus, que d’autres a revendiquer le droit de mener la nation vers la paix, la justice et la prospérité auxquelles elle aspire désespérément depuis 1962.
Mon blog :
http://contreleclandoujda.centerblog.net
Un « Poutine » pour l’Algérie
La situation qui prévaut actuellement en Algérie ressemble, à s’y méprendre, à celle qui régnait, en Russie, durant la dernière année du Président Boris Eltsine :
- Un Président de la République de plus en plus impotent ;
- Sa famille et son clan dirigeaient le pays à sa place ;
- Une corruption généralisée ;
- Une maffia prédatrice, qui transfère illicitement les capitaux et les richesses du pays vers l’étranger ;
- Une industrie nationale bradée ;
-Une privatisation sauvage des entreprises et organismes financiers publics ;
- Une économie en ruine ;
- Un chômage endémique ;
- Une paupérisation accélérée de la population dont les besoins élémentaires n’étaient pas satisfaits ;
- Une fuite massive des cadres et des ressortissants vers des horizons meilleurs ;
- Une politique étrangère cacophonique, indigne de la Russie, héritière de la super-puissance qu’était l’URSS ;
Pour sortir le pays de l’impasse durable dans laquelle il se trouve , nos « Sages » doivent, à l’instar de leurs homologues russes, favoriser d’urgence l’émergence d’un « Poutine », un vrai « Poutine » algérien, dont le discours fédérateur, objectif et pondéré pourra remobiliser et redonner confiance au peuple algérien traumatisé par 7 ans et demi de lutte féroce pour son indépendance et 46 ans de monopoles, de frustrations et de brimades diverses, de corruption, de terrorisme sauvage et de régionalisme néfaste.
L’urgence est à cela et non pas à une révision constitutionnelle problématique, qui ferait entrer le pays dans une zone de turbulences dangereuse pour la cohésion, la stabilité et l’unité nationales.
« Enfant du système », comme Poutine, Ouyahia serait, peut être, cet homme là ?
Ahmed Bensalah
Tout sur l’élection présidentielle de 2009 ( Suite )
Tout sur l’élection présidentielle de 2009 ( Suite )Posté le 02.06.2008 par toutsurlelectionpresidentiellede2009
La Dine wa la Mella :
Je suis de plus en plus enclin à penser que la seule idéologie qui ait jamais existé en Algérie est le « khobzisme ».
C’est pour ça, peut être, que malgré tous les coups francs et bas qu’il a reçu depuis 1962, ce système inqualifiable est encore là et, après la tempête des années 1990, sera peut être plus fort que jamais.
Les attentats terroristes, qui ont eu lieu aux Etats Unis d’Amérique le 11 Septembre 2001,semblent lui avoir donné une seconde jeunesse.
Le seul espoir reste donc l’implosion due aux contradictions internes exacerbées par la divergence des intérêts de ses différents « barons ».
C’est la thèse défendue notamment par MM Hamrouche, Ghozali, Benbitour, Sifi et bien d’autres, qui préconisent de « souffler sur les braises », de l’intérieur du kanoun.
Mais, on dit que les loups ne se mangent pas entre eux.
Qui n’est pas contre Moi est avec Moi :
Merci, Rachid Boudjedra de t’être prononcé clairement sur la question du 3ième mandat car le « clan présidentiel », qui cultive l’amalgame, a le culot de considérer, avec lui, tous ceux qui ne se déclarent pas publiquement contre lui.
Silence vaut consentement et soumission à la volonté de Fakhamatouhou.
Santé de Bouteflika :
SOS, pays en danger.
L’omniabsence de Bouteflika commence à inquiéter sérieusement les Algériens et les Etrangers.
Chers frères et soeurs, notre pays est à la dérive.
Que faire pour arrêter le massacre ?
Santé de Bouteflika :
C’est parce qu’ils aiment leur pays et ne veulent pas que son image et celui qui la représente soient souillés et ternis, que certains compatriotes expriment leur désarroi face aux images diffusées récemment par l’Unique d’un Présdident, qui a déjà la tête ailleurs, physiquement et mentalement diminué.
Bouteflika a certes déployé des efforts pour tenter de ranimer un système moribond, qui a finalement eu raison de lui mais, à part les paramètres macroéconomiques dus aux ressources naturelles dont Dieu a généreusement pourvu le pays, tous les autres indicateurs sont au rouge et l’échec est patent, dans tous les domaines.
Que retiendront les Algériens de Bouteflika 2 ? Rien ou presque.
Il est revenu, il est resté l’otage de sa famille et de son clan, il s’est vengé et il a lamentablement échoué.
Il est grand temps de tourner cette page, qui devient de plus en plus sordide et pathétique.
Les historiens auront certainement beaucoup à dire sur la décennie 1999-2009.
Et pour cause !
Santé de Bouteflika : Zerhouni récidive :
Notre « Gaston La Gaffe » national ferait mieux de se taire.
Chacune de ses déclarations ridicules est aussitôt démentie par les faits en quelques jours voire même en quelques heures à peine.
Il ne faut pas être Prof de Médecine pour voir et comprendre que le Président Bouteflika se porte mal, très mal même et lui a le culot morbide de soutenir le contraire.
Rabi yastour Bouteflika.
Qu’est ce qui fait courir les dinosaures ? :
C’est lui qui a semé l’islamisme dans l’école algérienne.
Pourquoi Ahmed Taleb Ibrahimi fait-il entendre sa voix aujourd’hui ?
Qu’espère-t-il encore à plus de 80 ans d’un pays dont il a contribué activement à la ruine matérielle et morale ?
Il est le père spirituel des Zouabri, Layada et Belhadj, bourreaux de nos enfants, femmes et vieux sans défense et assassins de nos braves soldats et patriotes, hélas aujourd’hui en liberté.
Le Sage de Metlili :
M. Benbitour est un homme de bien, un Sage, patriote et compétent, dont il faut écouter et suivre les conseils avisés.
Son diagnostic de l’état politique, économique et social de notre pays rejpoint largement celui déjà établi par d’autres experts et observateurs algériens et étrangers éminents.
Réveillez vous messieurs les « décideurs » avant qu’il ne soit trop tard.
Bouteflika est en train de mener le pays à la dérive.
Alger : carrefour des Agents Spéciaux ?
Selon certains médias spécialisés, plus de 99% des Ambassadeurs et Diplomates en poste à Alger appartiennent aux Services de Sécurité de leurs pays respectifs.
Plaque tournante de nombreux trafics ( armes, terrorisme, drogue, contrefaçon, pédophilie, prostitution, organes humains, oeuvres d’histoire etc…), Alger est devenu un centre de formation pour les futurs James Bond 007.
C’est le sort de tous les Etats-passoires, dont les dirigeants s’occupent beaucoup plus de leurs « petites » personnes que d’assumer correctement les responsabilités pour lesquelles ils sont grassement payés.
Sécurité et Injustice :
Il n’y a pas d’Etats plus policiers que ceux des pays occidentaux.
Mais, à la différence des Etats policiers des pays sous développés, ces pays établissent des garde-fous solides pour prévenir tous les abus des services de sécurité et les sanctionner, le cas échéant.
La Constitution, la Justice, la démocratie et même la société civile sont là pour protéger effectivement le citoyen injustement victime des services de sécurité, sous toutes leurs formes.
Ce n’est donc pas l’excés de sécurité qui fait peur en Algérie mais beaucoup plus, l’excés d’injustice,de bureaucratie et de corruption et la complicité et l’impunité officielles dont leurs auteurs bénéficient.
Modération sélective :
Modéré et complaisant avec les Bourreaux et les Islamistes et radical et violent avec les Victimes et les Démocrates, voilà l’Etat de Bouteflika depuis 1999.
Les opérations de sape du moral des Patriotes, leur afaiblissement voire même leur démobilisation et de division des rangs de l’ANP étant achevées, il veut installer aujourd’hui, avec Belkhadem, comme héritier désigné, la République Islamique Algérienne.
Putshiste incorrigible, Bouteflika cherche apparemment à pousser à la porte ses tuteurs en les livrant à la vindicte populaire.
Or c’est lui, pour l’instant, qui est nu sur la place publique.
A malin, malin et demi.
Il subit le sort de tous les ingrats.
Félicitations détournées :
Les « félicitations » adresées récemment par Mme Condoleeza Rice, la Secrétaire d’Etat américaine, à l’Algérie, qualifiée de « champiionne de la lutte contre le terrorisme », sont à mon avis beaucoup plus adressées à l’ANP et aux différents services de sécurité algériens , qui luttent inlassablement contre le terrorisme islamiste, pour ramener l’ordre et la sécurité dans le pays et dans la région , qu’aux Emirs fatigués, qui occupent les palais d’El Mouradia et du Gouvernement, dont Condoleeza Rice connaît bien l’appartenance idéologique.
Islamistes et demi :
Quels que soient leurs défauts, qui n’en a pas ? Bouteflika et Belkhadem ont au moins le mérite de n’avoir jamais caché leurs convictions politiques.
Ils font partie de la frange islamo-maraboutique du FLN et ils l’assument pleinement.
La déclaration de Belkhadem relative au Saint Coran se situe donc en droite ligne de celle de Bouteflika : « toute oeuvre humaine est perfectible » et la Constitution en est une.
Que ceux et celles qui sont contre eux commencent d’abord par être aussi clairs que Bouteflika et Belkhadem pour pouvoir mobiliser leurs partisans sinon le combat est perdu d’avance car les hordes hillaliennes de l’Emir d’Aflou sont prêtes depuis des mois déjà.
Il ne faut surtout pas compter sur Ouyahia pour contribuer à la clareté du débat.
Ces dernières déclarations ajoutent plutôt à la confusion générale.
Colombisation de l’Algérie :
C’est la « Colombisation » rampante de l’Algérie.
Ce n’est pas par hasard, si notre ambassadeur en Colombie est un parent de Bouteflika et le mari de son Interprète personnelle.
Ses « ficelles » seraient suivies à la lettre.
Nos différents barons ( Blé ( dur et tendre ), Café, Huile, Lait, Médicaments, Bois, Ciment, Rond A Béton etc…vont constituer leurs propres milices pour les défendre contre le peuple « sale et voleur ».
Le Tango ne fait que commencer.
Ne pas jouer avec le gaz :
Certains « experts » algériens et étrangers conseillent à notre Gouvernement, à court d’imagination, de suivre l’exemple de la Russie et d’utiliser l’arme des hydrocarbures pour exercer des pressions sur l’Europe notamment.
Si Poutine, le Tsar de Saint Petersbourg, l’a fait c’est qu’il savait pertinemment qu’aucun pays n’osera un jour prendre le risque d’attaquer la Russie pour s’emparer de ses hydrocarbures comme ce fut le cas malheureusement pour l’Irak et ce sera aussi le cas pour l’Iran, demain.
Si elles sentaient leur sécurité énergétique menacée, la France, l’Espagne et l’Italie n’hésiteraient pas un seul instant avec l’aide de l’OTAN à envahir notre pays, la Libye ou un quelconque autre pays arabe ou africain qui brandirait cette arme à double tranchant.
Quelle que soit la nature de leurs divergences avec Washington, les pays d’Amérique Latine seront toujours protégés par l’Oncle Sam, qui en fait son arrière-cour.
Gare donc aux coups de tètes intempestifs qui seront désastreux pour toute la nation.
Ne pas jouer avec le gaz 2 :
Nos « frères » du Moyen Orient nous raviraient avec plaisir notre modeste part du marché gazier européen, s’ils le pouvaient.
Ne sont -ils pas en train de tout faire, sous la houlette de l’Arabie Saoudite, pour nous mettre en porte à faux voire même en conflit avec nos partenaires occidentaux et notamment européens, qui préfèrent, pour l’instant, notre gaz uniquement pour la proximité et donc la réduction des coûts de transport qu’il offre et pour atténuer leur dépendance de la Russie, de plus en plus gourmande.
Utiliser cette arme comme moyen de chantage pour prétendre faire changer aux Etats Unis, à l’Espagne et à la France leur position stratégique sur la Palestine et le Sahara Occidental, équivaudrait à un suicide.
Les Algériens lucides ne permettront jamais cela.
Cycle infernal :
Emeutes, grèves, manifestations, répression, harragas, drogue, mendicité,prostitution, rapts d’enfants, criminalité, terrorisme, suicides, corruption, régionalisme, népotisme, charlatanisme, prosélytisme chrétien, telles sont les pièces du puzzle qui constitue l’Algérie de Bouteflika, qui en est tellement fier qu’il s’apprête à violer la Constitution du pays pour avoir son troisième mandat.
Chacun a la fierté qu’il peut.
Cycle infernal 2 :
Les évènements sanglants de Ouargla, Hassi Messaoud, Gdyel, Chlef,Berriane et Oran illustrent la démission et l’incapacité d’un pouvoir vieillissant d’assumer ses obligations les plus élémentaires.
L’absence de l’Administration est somme toute « normale » puisque ses responsables ont la tête ailleurs, c’est à dire à l’étranger où ils ont accumulé illicitement d’immenses fortunes.
S’ils s’accrochent encore au pouvoir, c’est uniquement pour écumer les fonds de tirroirs et enfoncer davantage le peuple algérien dans la misère physique et morale.
Merci M Hafnaoui Ghoul pour ton témoignage qui nous éclaire sur le procédé diabolique utilisé par le pouvoir clanique de Bouteflka pour diviser deux communautés qui vivaient jusqu’à récemment encore en harmonie.
S’il n’est pas neutralisé ce pouvoir va, après la Kabylie, hier et le Mzab aujourd’hui, mettre le feu dans toutes les régions du pays avant de rentrer chez lui.
Union Pour la Méditerranée : le piège d’Israël
En toute modestie, je ne suis pas d’accord avec ceux et celles qui recommandent à notre pays de ne pas adhèrer à l’Union Pour la Méditerranée, sous prétexte qu’Israël en fera partie.
Bien au contraire, je crois que si notre pays tombait dans le piège de ceux qui veulent l’exclure de ce projet, dont précisément Israël, la France et l’Espagne notamment, qui sont en train d’exagérer son « importance » régionale pour faire prendre la grosse tête à ses dirigeants, il se retrouverait, de nouveau, isolé dans la région et son retour laborieux sur les scènes régionale et internationale serait alors totalement compromis.
Même si le contenu de ce projet reste encore vague, il vaudrait mieux, à mon avis, y adhérer pour pouvoir agir sur lui au cas où il serait contraire à nos intérêts.
Il ne faut pas refaire l’erreur qui a été commise avec l’OMC.
Les intérêts stratégiques du pays devraient transcender les humeurs des uns et des autres.
C’est vrai, il n’est pas interdit de rêver.
L’Armée de Saddam, qui comme la très grande majorité des dirigeants arabes aimait les flatteries, aussi était présentée par les médias occidentaux comme la « Quatrième Armée au monde ». Nous avons vu ce qu’il en est advenu.
Je sais que les six sous que le renchérissement exceptionnel des prix du pétrole et du gaz et l’exploitation intensive de nos hydrocarbures ont rapportés à l’Etat algérien font chauffer à blanc la tête de nos dirigeants mais cela ne doit pas les pousser à commettre l’irréparable, c’est à dire : isoler encore le pays régionalement et internationalement comme le fait déjà leur fréquentation des Islamistes nationaux et à l’étranger.
Le syndrome d’Israël ne doit pas jouer uniquement contre nous.
Cessons d’être plus Palestiniens que les Palestiniens, plus Sahraouis que les Sahraouis, plus africains que les africains et plus musulmans que les autres musulmans.
Les uns et les autres fréquentent assidûment les Israëliens et les Marocains.
Si nous continuons à cette allure nous allons bientôt devenir leur ennemi commun.
Qui vivra verra.
De toute facon, l’argument fallacieux d’Israël ne tient pas la route puisque depuis Novembre 1995, lorsque a été lancé le processus de Barcelone, dont les pays arabes riverains de la Méditerrannée et Israël font partie, notre pays, comme à l’ONU et ses différentes institutions spécialisées, se réunit dans la même salle qu’Israël.
Pourquoi ne le ferait il pas demain au sein de l’Union Pour la Méditerranée ?
En tout état de cause, ce qui ne se fait pas avec nous se fait forcément contre nous et nos intérêts.
O combien j’aurais aimé que notre pays eût les capacités que ces « experts » lui prêtent.
Je persiste et signe : seule une participation à l’Union Pour la Méditerranée pourrait lpermettre à l’Algérie de faire avorter le plan machiavélique qui vise à son isolement dans la région.
Tout le reste n’est que nostalgie d’une époque bien révolue.
Faux et usage de faux :
En avançant le taux de 13,8% pour le chômage en Algérie, l’OCDE est vraiment généreuse avec le gouvernement algérien.
D’autres sources aussi crédibles que l’OCDE parlent de « plus de 30% ».
Une observation à l’œil nu de la vie quotidienne algérienne donnerait plutôt raison à la seconde source même si l’absentéisme fausse en partie cette analyse.
En tous les cas, nos voisins du Nord, de l’Ouest et de l’Est ont pris une sérieuse avance sur nous dans plusieurs domaines.
Si, au lieu de se gonfler de bêtises comme la grenouille de la fable, le gouvernement algérien commençait par admettre cette « réalité », il pourrait peut être se rendre compte de l’ampleur des dégâts et du gâchis qu’il a commis, en quelques décennies.
L’éducation selon Ouyahia :
Selon l’innénarrable Ouyahia, l’objectif de la pénalisation des délits de presse n’était nullement de réprimer les journalistes mais de les inciter à une plus grande profesionnalisation.
L’objectif de l’emprisonnement abusif de centaines de cadres gestionnaires était aussi d’améliorer leurs qualifications profesionnlelles et non pas de livrer le tissu industriel du pays à la mafia politico-financière, dont il est le serviteur « sans âme », lui préfère « sans état d’âme ».
Tout comme la ponction opérée d’office par ce « haggar », vomi par le peuple algérien, sur les maigres salaires des travailleurs sans défense, avait pour but d’améliorer leurs conditions de vie et non pas de payer ceux faramineux des « réfugiés » du Club des Pins.
Goebbels n’aurait pas trouvé mieux.
L’affaire qui confirme la régle :
L’affaire « Djazairi » confirme la règle en vigueur dans notre pays depuis 1962 : « Ceux qui dirigent ne décident pas et ceux qui décident ne dirigent pas ».
Ces derniers se contentent, grâce au pouvoir que la détention de la force, dans son sens le plus brutal, leur confère d’encaisser les dividendes que leurs positions rentières leur rapportent et de réprimer les récalcitrants même s’ils sont des Présidents : Ben Bella, Chadli, Boudiaf, Zéroual et demain le « marabout d’Oujda », s’il ne partait pas avant le clash fatal.
Tant que cette « logique » diabolique continue à prévaloir, des « victimes » consentantes comme Djazairi, Aoun et les autres cadres du secteur public vont encore crier à l’injustice après avoir servi et mangé avec le « grand méchant Loup ».
On ne peut pas fréquenter le loup sans risquer d’être, un jour mordu ou dévoré par lui.
Avis aux amateurs.
Les héritiers :
Qu’attendre d’un Gouvernement qui, 46 ans après l’indépendance du pays, n’a pas honte de siéger encore dans le Palais où était installé le Gouvernorat colonial.
C’est aussi le cas de nombreux walis, chefs de daira et maires.
Toute la symbolique est là.
Le message est clair : « Nous » sommes les héritiers de l’Administration française et pour vous dominer nous utiliserons ses vieilles recettes fondées sur le principe de l’alternance entre la carotte et le baton.
Nous savons que le peuple « sale et méchant » ne nous aime pas car il nous considère comme des usurpateurs mais nous le lui rendons bien en adoptant une politique qui vise à le diviser et à l’éreinter pour qu’il n’ait pas le temps de lever la tête pour nous voir e train de piller le pays.
La zizanie, les pénuries, la corruption, le régionalisme,le népostisme, la fraude et la démagogie nous ont permis de rester au pouvoir depuis 1962 et vont nous assurer encore de beaux jours.
Ceux qui ne sont pas contents n’ont qu’à suivre l’exemple des harragas ou des terroristes que d’autres enfants du peuple sont chargés de combattre.
Entretuez-vous pour nous enfants du peuple !
Ce sont vos braves parents qui nous ont permis d’être là où nous sommes aujourd’hui.
Suivez leur exemple et vous irez, comme eux, au paradis.
Mostfa et Linda chergui
Blog : http://toutsurlelectionpresidentiellede2009.centerblog.net
L’approche crabienne :
Fidèle à sa réputation et par déformation professionnelle incurable, Zerhouni ne sait pas que gouverner c’est d’abord prévoir et dissuader et exceptionnellement réprimer.
Mais depuis 1962, les dirigeants autoproclamés de notre pays ont horreur de faire face aux citoyens et adoptent vis-à-vis d’eux une approche dite « crabienne », c’est-à-dire latérale.
Ils ont un problème avec le FIS, ils négocient avec HAMAS, ENNAHDA et les Barbes-FLN.
Le problème est avec les kabyles, ils discutent avec les baathistes.
Les communistes s’agitent dans les universités, ils lâchent contre eux les islamistes.
Les enfants du « front » (FLN) n’affrontent jamais mais contournent et détournent ( sans jeu de mots ) les problèmes.
Les « élus » :
Ceux et celles qui critiquent les Zerhouni, Medelci, Belaiz, Temmar, Benachenhou, Louh, Ould Abbes etc… et toute la smala ramenée, en 1999, dans les bagages du marabout d’Oujda, se trompent énormément car ces messieurs sont forcément intelligents, compétents, beaux et grands, tout simplement parce qu’ils sont, comme lui, de l’émirat de Tlemcen, dont les assises commencent à vaciller sérieusement, à cause de népotisme et du régionalisme virulents, qui les ont isolés de la très grande majorité des Algériens.
Un peu de patience, mes frères, la chute est imminente et la débandade est pour bientôt, pour ceux qui se sont trompés de pays et d’époque et qui affichent une suffisance et une arrogance que rien ne justifie ni excuse.
« Mieux vaut prévenir que guérir »
Le clan installé au pouvoir en 1999, refuse, après 9 ans de règne sans partage, d’admettre qu’il n’a pas honoré les engagements qu’il a pris devant ceux qui l’ont imposé, à l’époque et qui l’ont aidé à s’y maintenir en 2004 alors que son sort était scellé, à tous les niveaux.
Hélas, Bouteflika n’a pas pu saisir sa seconde chance et a persisté dans sa politique défaitiste face aux Islamistes et n’est pas sorti des dimensions népotiste et régionaliste de sa personnalité.
L’échec est aujourd’hui quasi-total et la seule issue honorable qui lui reste ainsi qu’à son clan est de jeter le tablier sans chercher à imposer sa relève ou à perdurer au pouvoir qui l’a physiquement et mentalement déglingué.
Ce qui est aujourd’hui présenté comme une « lutte de clans » n’est que la pression excercée conjointement par le peuple et les « décideurs » déçus par Bouteflika et ses « hommes d’Etat » et qui ont peur que leur fuite en avant ne dégénè en « guerre civile » et conduise le pays à une division irrémédiable et durable.
Mieux vaut prévenir que guérir.
Au lieu de comprendre cette nécessité Bouteflika et ses jusqu’auboutistes ( Belkhadem, Zerhouni et consorts )n’hésitent pas à utiliser tous les moyens pour s’aggriper à un pouvoir de plus en plus hypothétique.
Les conseilleurs ne sont pas les payeurs :
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, le terrorisme a encore de nombreux jours devant lui, en Algérie.
En effet, les Algériens comme tous les peuples qui ont ou ont eu à faire à ce fléau savent que ce sont les dénis politiques, économiques, sociaux et culturels des gouvernants qui sont à l’origine du terrorsime.
Lorsque ces différents dénis sont couplés avec d’autres fléaux et maux sociaux comme la bureaucratie et son corollaire la corruption, le népositsme, le régionalisme et l’incompétence, la situation devient inextricable et les mouvements subversifs en font leur bouillon de culture.
Des déclarations irresponsables comme celle d’Ouyahia » terrrorisme résiduel » ou de Zerhouni et de son alter ego Ould Kablia « les terroristes vivent leur dernier quart d’heure » ou plus grave encore, celle de Bouteflika à El Pais « le terrorisme a été défait en Algérie, vous pouvez vous déplacer, de nuit, d’Ouest en Est et du Nord au Sud, sans aucun risque », sont révélatrices du degré d’inconscience des dirigeants de notre pays, qui vivent cloitrés dans leurs bunkers.
Heureusement que le journaliste espagnol, qui connait la frivolité de Bouteflika, n’avait pas suivi son « conseil ».
Une question de rythme :
Parce que nous avons un pouvoir sourd-muet, qui fonctionne au rythme des papis qui le détiennent, sa réaction à la moindre information grave concernant notre pays crée un véritable charivari.
En effet, suivez le labyrinthe : la proposition de réaction doit être soumise à l’approbation préalable de Fakhamatouhou, lorsqu’il est en mesure de l’étudier.
Sinon, elle est transmise à une armada de conseillers, qui décortiquent l’os en prenant le temps « nécessaire » pour souligner la complexité et la haute technicité de leur tâche, avant d’être retournée au ministère de la communication.
Fort de la bénédiction de Fakhamatouhou, le Ministre de la communication convoque alors les médias et leur notifie le démenti officiel.
Entre temps, beaucoup d’eau et d’encre auront coulé sous les ponts et sur les pages des agences de presse et autres sites internet et ladite information aura été amplifiée à souhait et interprétée dans tous les sens possibles.
Les dégâts subis par l’image du pays, auront été irréparables.
Les différents ennemis de notre pays ont le beau rôle.
Bsahathoum el haggarine.
Un allié dangereux :
Profitant du désarroi que provoque chez quelques pays arabes et africains méditerranéens, dont le nôtre, la question de l’adhésion ou non à l’Union Pour la Méditerranée, El Gueddafi a, comme d’habitude, pris l’initiative de réunir à Tripoli quelques uns des dirigeants de ces pays pour leur dicter la conduite à tenir concernant ce projet.
Personnellement, je ne ferais jamais confiance à El Ghaddafi car ce personnage, aux contours pour le moins douteux et changeants, n’a pas hésité un seul instant à trahir ceux qui l’ont aidé lorsqu’il avait voulu développer un programme nucléaire.
Le père le la bombe atomique pakistanaise en sait quelque chose, le pauvre.
Il a aussi trahi tous les mouvements de libération qu’il aidait en expulsant leurs leaders et en fournissant à ses nouveaux alliés la liste de leurs membres, du matériel et des chéques qu’il leur a avancés, des années durant.
Tout ça pour entrer dans les bonnes grâces de Washington et de Londres , qui en font aujourd’hui l’un de leurs agents recruteurs.
Les dirigeants de notre pays doivent donc être assez vigilants pour ne pas se laisser entrainer sur des terrains mouvants, qui s’inscrivent dans le cadre d’une rivalité entre la France d’une part et les Etats-Unis et leur Oncle britannique, d’autre part.
L’argument de la Ligue Arabe et de l’Union Africaine, utilisé par El Gueddafi, ne tient objectivement pas la route car la première est née stérile et impuissante et est moribonde et la deuxième ne fait que coiffer des pays africains déjà membres d’ensembles sous régionaux qui existaient bien avant elle.
El Ghaddafi a été et reste un aventurier dangereux et personne ne le connaît mieux que son voisin de l’Est, l’Egypte, qui a royalement ignoré son sommet.
On ne se méfie jamais assez d’El Gueddafi, qui est arrivé au pouvoir, le 1er Septembre 1969, à la suite du coup d’Etat mené contre le Roi Senoussi, d’origine algérienne.
Ce personnage, qu’Anouar Sadate a qualifié de « clown tragique » reste toujours dangereux à cause de ses retournements et de ses reniements fréquents.
Il a, dans le passé, joué de nombreux tours à notre pays qu’il considère comme un ennemi stratégique de la Libye.
Mostfa et Linda chergui
Mon blog :http://toutsurlelectionpresidentiellede2009.centerblog.net
Algérie : la priorité des prioritésPosté le 13.07.2008 par contreleclandoujda
A ce que je sache, M. Benamar, ce sont les critiques objectives des non conformistes ( minoritaires ) qui ont fait avancer les nations.
Les louanges, forcément subjectives des courtisans et des opportunistes de tout acabit ( aussi minoritaires ) les ont fait stagner et pérécliter.
Pour ma part, je persiste et je signe que l’urgence pour notre pays, aujourd’hui, n’est pas la révision constitutionnelle pour satisfaire les lubies ou les envies d’un Président, d’un clan ou d’une région aussi puissants soient-ils mais l’organisation, en Avril 2009, d’une élection présidentielle crédible, qui permette au pays d’effectuer le saut politique et social, qualitatif et durable lui permettant de sortir de la zone de pénombre où il se trouve depuis 1999.
La bataille féroce contre les forces des ténèbres, menée depuis 1990 par le peuple algérien et les forces de sécurité du pays, a été définitivement gagnée en 1998.
Mais, parce qu’il n’avait ni le profil, ni les capacités physiques et intellectuelles ni même les convictions nécessaires à l’acomplissement de la tâche qui lui a été confiée , le Président Bouteflika a , en dix ans, transformé cette victoire militaire chèrement acquise en défaite politique.
Il ne pourra pas « mieux » faire, en 20 ou en 50 ans.
Ses efforts, au demeurant louables, sur le plan macro-économique, devraient donc être aujourd’hui relayés et completés par ceux d’une autre personnalité, qui ait un peu plus que ses qualités et un peu moins que ses défauts.
C’est la condition sine qua non pour que le pays soit tiré de l’impasse hautement préjudiciable où ils se trouve actuellement et pour qu’il puisse aller de l’avant, dans l’intérêt de tous.
C’est, du moins, ma conviction intime.
Cordiales salutations.
Ahmed Bensalah
Blog ;
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La logique du « coup d’Etat permanent »
Ouyahia a le droit de choisir et de soutenir le candidat qu’il veut.
C’est sa réputation et celle du Randou, le plus grand complexe de fraude électorale du pays, avant même le fln, qui sont en question.
Violer une Constitution, qui a rarement été appliquée ne devrait pas poser un gros problème de conscience aux dirigeants de ces deux partis et à leurs représentants désignés à l’APn et au Conseil de la nation.
Bouteflika, l’enfant gateux du système, qui n’est pas à un scandale près, verra donc son avant dernier caprice réalisé et aura sa sucette ( le 3ième mandat ) pour l’amuser, tandis que les politiciens véreux se livrent à coeur joie au pillage de l’argent amassé par le vieux aux dépens du bien être, de la santé et de l’éducation de ses enfants et petits enfants.
Selon le « deal » qui aurait été passé entre les deux hommes et leurs parrains respectifs, en 2014, Bouteflika, si Dieu lui prête encore vie, devrait annoncer son soutien au candidat de la « nouvelle » génération, c’est à dire Ouyahia, qui aura 62 ans.
Bouteflika avait cet âge en 1999.
Entre temps, le terrorisme islamiste, la harga, le chômage, la corruption, le régionalisme, les maladies , la criminalité et d’autres fléaux et maux sociaux auront fait des centaines de milliers d’autres victimes, qui seront portées au compte Pertes et Profits du bilan désastreux de Bouteflika.
Le peuple « souverain », dont l’indépendance, la liberté d’expression et le droit de choisir librement ses représentants ont été confisqués dès 1962, doit encore attendre car la démocratie nécessite un long et dur apprentissage que ni Bouteflika ni Ouyahia ne sont prêts à entreprendre.
Décidément, on n’est pas encore sorti de la logique dangereuse du « coup d’Etat permanent ».
Amine Benrabah
Blog :
http://cestleclandoujdaquimatuer.centerblog.net
» Pleure, ô pays bien-aimé « Posté le 30.10.2008 par contreleclandoujda
Le verdict, annoncé et maintes fois reporté, vient finalement de tomber : Bouteflika procédera, par voie parlementaire, à un amendement « réduit et limité » de la Constitution de 1996.
L’argument avancé est faible et intellectuellement malhonnête car il n’a jamais été question d’amender autre chose que l’article qui empêche le Président de la République en exercice d’aspirer à un troisième mandat et de lui permettre de faire mieux que ses prédécesseurs, c’est à dire rester plus longtemps qu’eux sur le koursi, qui le rend apparemment de plus en plus paranoïaque.
L’amendement réactionnaire ( Alan S. Paton, l’écrivain et homme politique sud-africain, à qui j’ai emprunté le titre de cet article, dirait « l’amendement infâmant » ), pour annihiler l’une des rares avancées démocratiques que notre pays ait enregistée, ces vingt dernières années, aura donc lieu.
Il constituera, sans aucun doute, un recul dramatique de plus, après ceux déjà enregistés dans les domaines politique, économique, social, culturel et éducatif.
Pleure, ô pays bien-aimé, ruiné par une classe politique et administrative cupide et obstinée, dont l’impuissance et le manque d’imagination positive portent atteinte à ta crédibilité, déjà assez malmenée, ces dernières années.
Une Assemblée Populaire Nationale « élue » dans des conditions pour le moins scandaleuses et que ses propres membres ( voir récentes déclarations de Louisa Hanoune, Moussa Touati, Said Sadi et de plusieurs Députés du FLN et du RND ) jugent non représentative du peuple algérien, n’a pas le droit de jouer avec l’avenir du pays.
En effet, la reconduction du « statu quo », qui a montré ses limites extrêmes, pourrait constituer un risque majeur pour la cohésion , l’unité et la stabilité nationales.
« Youkharibouna Bouyoutihim Bi Aydihim » ( Ils détruisent leurs maisons de leurs propres mains ). Saint Coran
Que Dieu nous protège et protège nos enfants des méfaits de ces prédateurs.
Ahmed Bensalah
le clan d’oujda digne descendant de l’EMIR A.E.K. EL JAZAIRI comme le nomme avec reconnaissance le monde entier sait trés bien ce que veut dire : FAIRE LE ZOUAVE ; Pour la simple et bonne raison que « ces harkis » premiere heure recrutaient par l’expedition française dans notre pays excellait dans les sales besognes le massacres des femmes enfants et veillards d’ou sont originaires ces enfants de l’ouest qui vous agacent depuis 1830 a ce jour on ne reecrit pas l’histoire par l’histerie et ne peut occulter un peuplier par son ombre car s’il s’agit de pardon QUE DIRE des massacres des populations de Benichougrane de Moghrar et j’en passe a propos vous savez pourquoi a l’ouest on vous apelle ZOUAOUA ? SACHEZ QUE LES KABYLES DE L’OUEST sont tres nombreux et vivent paisiblement et sont tres bien chez eux alors de grace