Où va l’Algérie ?
La culture globale de certains algériens, minoritaires mais fort bruyants et omniprésents, toutes générations confondues, doctorants et analphabètes, est malsaine parce que fondée sur des mythes hallucinants. Tous les jours on entend ces bravaches, citadins et ruraux, nantis et misérables, chefs et plantons, tresser des lauriers à la classe dirigeante, aux puissants et injurier le peuple, les faibles en toute impunité. Pour ces laudateurs des puissants et insulteurs professionnels du peuple, des faibles, jusqu’à un passé réent : Boumediene, Chadli, Mohamed Boudiaf, Ali Kafi, Yamine Zeroual, Abdelaziz Bouteflika et leurs collabos sont ou étaient des : « des experts politiques, des hommes « Providentiels » et, des libérateurs et des sauveurs d’une Algérie révolutionnaire, industrialisante et moderne… ? » L’Algérie et la classe politique, ancienne et actuelle, sont à l’image de ses gouvernants civils et militaires passés et actuel. Ces gouvernants se sont imposés par la force, contre la volonté du peuple. Un peuple ne portera jamais des escrocs au pouvoir. Plus de 98% des ministres de Bouteflika sont nés au Maroc ou issus de la bande frontalière avec Maroc. Le restant du territoire algérien serait-il stérile en femmes et hommes politiques compétents et intègres ?